
Benoît Sambou, ancien président de la Commission Nationale du Dialogue des Territoires et Président de la Plateforme des Acteurs pour la Citoyenneté, le Travail et l’Émergence, a pris part au dialogue sur le système politique initié par le Président Diomaye Faye. Dans une note parvenue à la rédaction de PressAfrik, il est revenu sur « le sens » de sa participation au dialogue.
L’ancien ministre d’Etat a estimé que ce genre de rencontre font partie des meilleures façons d’impliquer le citoyen dans la prise de décision. Et que par ce dialogue, dit-il, le Sénégal s’est donné un cadre républicain de concertation, d’échange et de renforcement de la cohésion nationale.
In extenso sa déclaration
Le sens de ma participation au dialogue national
La démocratie participative est un moyen de gouvernance auquel j’adhère totalement et pour lequel je milite entièrement. C’est en effet, l’une des meilleures façons d’impliquer le citoyen dans la prise de décision.
Depuis plus de 20 ans, de mon engagement à l’Alliance Jëf Jël à mon militantisme à l’Alliance Pour la République, j’ai eu le privilège de participer à toutes les instances portant révision du Code électoral ou réflexion sur le système politique sénégalais. En instituant la Journée du Dialogue national le 28 mai, le Sénégal s’est donné un cadre républicain de concertation, d’échange et de renforcement de la cohésion nationale.
« Depuis plus de 20 ans, de mon engagement à l’Alliance Jëf Jël à mon militantisme à l’Alliance Pour la République, j’ai eu le privilège de participer à toutes les instances portant révision du Code électoral ou réflexion sur le système politique sénégalais. En instituant la Journée du Dialogue national le 28 mai,.
En termes d’expérience personnelle, j’ai conduit 15 ans durant, les délégations de l’APR puis de Benno Bokk Yakaar aux différentes concertations de la Commission politique du dialogue national ou d’évaluation du Code électoral initiée par le ministère de l’intérieur. J’ai donc contribué à influencer toutes les résolutions consensuelles issues de ces concertations qui ont incontestablement participé à la consolidation de notre système démocratique.
Aussi, j’ai également eu l’honneur de diriger une Institution, la Commission Nationale du Dialogue des Territoires (CNDT) dont la démarche était d’inscrire le dialogue au cœur du système de management territorial, de prévention, de médiation et de résolution des conflits.
C’est d’ailleurs, dans cette même culture, que j’ai lancé, depuis le 04 novembre 2023 la Plateforme des Acteurs pour la Citoyenneté, le Travail et l’Émergence (PACTE) avec comme objectif de placer le « Contrat citoyen » au centre de tout processus de gouvernance et de décision politique.
Je crois profondément aux vertus du dialogue, par principe et par expérience.
Pour toutes ces raisons, je réponds favorablement à l’invitation au dialogue national, restant fidèle à mes convictions.
L’ancien ministre d’Etat a estimé que ce genre de rencontre font partie des meilleures façons d’impliquer le citoyen dans la prise de décision. Et que par ce dialogue, dit-il, le Sénégal s’est donné un cadre républicain de concertation, d’échange et de renforcement de la cohésion nationale.
In extenso sa déclaration
Le sens de ma participation au dialogue national
La démocratie participative est un moyen de gouvernance auquel j’adhère totalement et pour lequel je milite entièrement. C’est en effet, l’une des meilleures façons d’impliquer le citoyen dans la prise de décision.
Depuis plus de 20 ans, de mon engagement à l’Alliance Jëf Jël à mon militantisme à l’Alliance Pour la République, j’ai eu le privilège de participer à toutes les instances portant révision du Code électoral ou réflexion sur le système politique sénégalais. En instituant la Journée du Dialogue national le 28 mai, le Sénégal s’est donné un cadre républicain de concertation, d’échange et de renforcement de la cohésion nationale.
« Depuis plus de 20 ans, de mon engagement à l’Alliance Jëf Jël à mon militantisme à l’Alliance Pour la République, j’ai eu le privilège de participer à toutes les instances portant révision du Code électoral ou réflexion sur le système politique sénégalais. En instituant la Journée du Dialogue national le 28 mai,.
En termes d’expérience personnelle, j’ai conduit 15 ans durant, les délégations de l’APR puis de Benno Bokk Yakaar aux différentes concertations de la Commission politique du dialogue national ou d’évaluation du Code électoral initiée par le ministère de l’intérieur. J’ai donc contribué à influencer toutes les résolutions consensuelles issues de ces concertations qui ont incontestablement participé à la consolidation de notre système démocratique.
Aussi, j’ai également eu l’honneur de diriger une Institution, la Commission Nationale du Dialogue des Territoires (CNDT) dont la démarche était d’inscrire le dialogue au cœur du système de management territorial, de prévention, de médiation et de résolution des conflits.
C’est d’ailleurs, dans cette même culture, que j’ai lancé, depuis le 04 novembre 2023 la Plateforme des Acteurs pour la Citoyenneté, le Travail et l’Émergence (PACTE) avec comme objectif de placer le « Contrat citoyen » au centre de tout processus de gouvernance et de décision politique.
Je crois profondément aux vertus du dialogue, par principe et par expérience.
Pour toutes ces raisons, je réponds favorablement à l’invitation au dialogue national, restant fidèle à mes convictions.
Autres articles
-
Délit d'offense au Chef de l'Etat : Mamadou Seck plaide pour l’abrogation de cette disposition
-
Affaire ASER-AEE Power EPC : Thierno Alassane Sall adresse une question écrite au ministre des Finances
-
Abdoulaye Seydou Sow : « Personne n’a de leçon à me donner au sein de l’APR »
-
Polémique sur sa participation au dialogue : "Si s'était à refaire je le ferai ", dixit Abdoulaye Sadou Sow
-
Réforme électorale au Sénégal : le vote des détenus acté en principe lors du dialogue national (Mamadou Seck)