Alioune Tine, fondateur d'AfrikaJom Center, s’est prononcé sur la reddition des comptes au Sénégal. Invité de l’émission Jury du dimanche sur Iradio ce 15 juin, l’ancien président de la Raddho a parlé de « délinquants » qu'il faut punir. Selon lui, il serait irresponsable de ne pas juger les personnes qui pillent les milliards de F Cfa du pays.
«Je pense qu'il faut punir les délinquants à col blanc. C'est ça la justice. Si des délinquants de ce type pillent les milliards du pays, il serait irresponsable de ne pas les juger. Mais il faut une justice équitable. Il faut les juger. Il faut les punir. Parce que c'est inacceptable. C'est effectivement inacceptable parce qu'aujourd'hui, si vous voulez faire de la dialyse, vous avez des problèmes. L’université a des problèmes. Nous avons également des problèmes d'infrastructures», a soutenu Alioune Tine.
Pour l’ancien président du Comité sénégalais des droits de l'homme, ce qui nous appartient à tous doit effectivement être protégé et la seule façon de le faire, est de punir ceux qui pillent les deniers de l'État.
«Pour qu'une société organisée, respectueuse des droits humains et de ce qui nous appartient à tous, puisse voir le jour, il faut que tout le monde considère cela comme sacré. Parce que la démocratie est consubstantielle à la reddition des comptes. Vous n'avez pas le droit de toucher », dit-il.
«Je pense qu'il faut punir les délinquants à col blanc. C'est ça la justice. Si des délinquants de ce type pillent les milliards du pays, il serait irresponsable de ne pas les juger. Mais il faut une justice équitable. Il faut les juger. Il faut les punir. Parce que c'est inacceptable. C'est effectivement inacceptable parce qu'aujourd'hui, si vous voulez faire de la dialyse, vous avez des problèmes. L’université a des problèmes. Nous avons également des problèmes d'infrastructures», a soutenu Alioune Tine.
Pour l’ancien président du Comité sénégalais des droits de l'homme, ce qui nous appartient à tous doit effectivement être protégé et la seule façon de le faire, est de punir ceux qui pillent les deniers de l'État.
«Pour qu'une société organisée, respectueuse des droits humains et de ce qui nous appartient à tous, puisse voir le jour, il faut que tout le monde considère cela comme sacré. Parce que la démocratie est consubstantielle à la reddition des comptes. Vous n'avez pas le droit de toucher », dit-il.
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