En effet, depuis le garde à vue de ce dernier, au lendemain de la fusillade de Baobab qui s’est soldée par la mort de Ndiaga Diouf, un important dispositif sécuritaire rôde aux alentours du commissariat central où campent des camarades de Barthélémy Dias mais aussi des journalistes en souci d’information. De temps à temps, des querelles sommaires éclatent entre policiers qui s’évertuent à faire le ménage dans la zone et occupants qui tentent de résister.
Toutefois, cette tension électrique entre service d’ordre et assiégeants du commissariat central installe la violence en esquisse car la situation peut dégénérer à tout moment, surtout dans un contexte marqué par le tiraillement politique.
Toutefois, cette tension électrique entre service d’ordre et assiégeants du commissariat central installe la violence en esquisse car la situation peut dégénérer à tout moment, surtout dans un contexte marqué par le tiraillement politique.
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