Drôle de rétropédalage. A peine vingt jours après l'entrée en fonction de Donald Trump que l'un de ses plus célèbres soutiens prend déjà ses distances. La star du rap Kanye West a en effet effacé lundi 6 février tous ses tweets en lien avec le dirigeant républicain.
Selon le site people TMZ, l'artiste américain est «très mécontent des décisions du Président durant ses premières semaines dans le bureau ovale». En tête de son courroux, le «Muslim Ban», ce décret signé fin janvier bloquant l'accès au territoire aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane - et bloqué le 4 février par un juge fédéral.
Il faut dire que Kanye West avait justifié son déplacement à la Trump Tower, le 13 décembre 2016, par son souhait de débattre des «questions multiculturelles». «Ces enjeux sont les agressions, le soutien des enseignants, la modernisation des programmes et la violence à Chicago», a tweeté celui qui avait apporté son soutien au milliardaire un mois plus tôt en plein concert. Avant d'ajouter : «Cela me paraît important d’avoir une ligne de communication directe avec notre Président si nous voulons vraiment du changement». Il s'agissait, avait alors commenté l'intéressé, d'une visite entre «amis de longue date».
Selon le site people TMZ, l'artiste américain est «très mécontent des décisions du Président durant ses premières semaines dans le bureau ovale». En tête de son courroux, le «Muslim Ban», ce décret signé fin janvier bloquant l'accès au territoire aux ressortissants de sept pays à majorité musulmane - et bloqué le 4 février par un juge fédéral.
Il faut dire que Kanye West avait justifié son déplacement à la Trump Tower, le 13 décembre 2016, par son souhait de débattre des «questions multiculturelles». «Ces enjeux sont les agressions, le soutien des enseignants, la modernisation des programmes et la violence à Chicago», a tweeté celui qui avait apporté son soutien au milliardaire un mois plus tôt en plein concert. Avant d'ajouter : «Cela me paraît important d’avoir une ligne de communication directe avec notre Président si nous voulons vraiment du changement». Il s'agissait, avait alors commenté l'intéressé, d'une visite entre «amis de longue date».
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