
« Quand la politique entre dans le prétoire, le droit sort par la fenêtre… », aiment souvent répéter les avocats et autres praticiens du droit. Pour ce coup-ci, c’est plutôt la « politique » qui fait sortir la « Santé » à travers la fenêtre. Quitte à piétiner les mesures barrières liées à la Covid-19, multiplier les cas de contamination et peupler les cimetières, dénonce le journal Témoin.
La preuve par la décision du préfet de Mbour d’autoriser les festivités du Kankourang sur l’étendue du territoire communal. Ce, sur demande pressante et électoraliste du maire El Hadj Fallou Sylla qui a d’ailleurs procédé au lancement officiel du « Septembre Mandingue » en partenariat avec la Collectivité Mandingue de Mbour, rapportent nos confrères.
Une autorisation de rassemblement qui intervient dans un contexte pandémique où le Sénégal n’a pas encore fini de pleurer ses Khalifes généraux, ses autorités politiques et ses personnalités diplomatiques emportés par la flambée pandémique. Non conscient d’avoir lâché le « Kankourang 2021 », le maire a remis une enveloppe de 15 millions de francs pour appuyer les organisateurs dans leurs festivités, informe le journal.
Ne rigolez surtout pas, ironisent nos confrères dans leur édition du jour, avant d'indiquer qu'après avoir autorisé ces festivités, le préfet et le maire recommandent aux populations mbouroises de respecter les mesures barrières. Pour « Le Témoin », ces deux autorités prennent les gens pour des demeurés. Comment les organisateurs et accompagnants de Kankourang, trainant de nombreuses foules derrière eux, peuvent-ils faire respecter la distanciation et les mesures barrières ?
La preuve par la décision du préfet de Mbour d’autoriser les festivités du Kankourang sur l’étendue du territoire communal. Ce, sur demande pressante et électoraliste du maire El Hadj Fallou Sylla qui a d’ailleurs procédé au lancement officiel du « Septembre Mandingue » en partenariat avec la Collectivité Mandingue de Mbour, rapportent nos confrères.
Une autorisation de rassemblement qui intervient dans un contexte pandémique où le Sénégal n’a pas encore fini de pleurer ses Khalifes généraux, ses autorités politiques et ses personnalités diplomatiques emportés par la flambée pandémique. Non conscient d’avoir lâché le « Kankourang 2021 », le maire a remis une enveloppe de 15 millions de francs pour appuyer les organisateurs dans leurs festivités, informe le journal.
Ne rigolez surtout pas, ironisent nos confrères dans leur édition du jour, avant d'indiquer qu'après avoir autorisé ces festivités, le préfet et le maire recommandent aux populations mbouroises de respecter les mesures barrières. Pour « Le Témoin », ces deux autorités prennent les gens pour des demeurés. Comment les organisateurs et accompagnants de Kankourang, trainant de nombreuses foules derrière eux, peuvent-ils faire respecter la distanciation et les mesures barrières ?
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