Un travail remarquable effectué par la Cour des Comptes a sorti des faits d'une gravité et d'une ampleur sans précédent dans la gestion des finances publiques du Sénégal. Ces révélations, selon l'ONG que dirige Moundiaye Cissé a marqué une avancée significative dans la lutte contre la corruption et les malversations financières. Cependant, l'ONG 3D a insisté sur la nécessité d'une justice rigoureuse et impartiale. « Des enquêtes doivent être diligentées afin de déterminer les auteurs de ces crimes financiers, dans le strict respect des droits de la défense et en évitant toute politisation de l'affaire », a souligné l'organisation.
Au-delà des enquêtes, l'ONG 3D a appelé à des réformes profondes et nécessaires pour éviter la répétition de telles situations. Selon l'organisation dirigée par Moundiaye Cissé, il est essentiel que le Parlement puisse exercer pleinement ses prérogatives. Il est également fondamental de renforcer ses capacités afin de pallier les lacunes existantes dans le contrôle des finances publiques.
Une des recommandations majeures de l'ONG 3D porte sur la directive de l'UEMOA. Laquelle stipule que « l'audit général des finances publiques doit être réalisé après le mandat du président sortant ». Cette directive, bien qu'utile, devrait être révisée pour inclure la possibilité de réaliser un audit à mi-mandat. « Un tel audit, souligne l'ONG, permettrait d'identifier les éventuelles lacunes en temps utile et de disposer des indicateurs nécessaires pour corriger les dérives avant la fin du mandat. Cela éviterait de devoir constater les dégâts a posteriori, comme cela a pu être le cas par le passé. »
Moundiaye Cissé considère que « la mise en œuvre d'audits à mi-mandat, en plus de l'audit final, constituerait une avancée significative dans la gestion des finances publiques, contribuant à une meilleure transparence et à la prévention des abus. En effet, ces audits réguliers garantiraient que les ressources publiques soient utilisées de manière optimale et dans l'intérêt des citoyens ».
L'ONG 3D insiste sur le fait qu'un cadre rigoureux et transparent est indispensable pour éviter la répétition de telles situations et pour assurer une gestion saine des finances publiques à l'avenir. Tout en saluant les avancées réalisées jusqu'à présent, l'ONG rappelle que l'engagement en faveur de la transparence et de la rigueur doit demeurer une priorité pour les pouvoirs publics.
Au-delà des enquêtes, l'ONG 3D a appelé à des réformes profondes et nécessaires pour éviter la répétition de telles situations. Selon l'organisation dirigée par Moundiaye Cissé, il est essentiel que le Parlement puisse exercer pleinement ses prérogatives. Il est également fondamental de renforcer ses capacités afin de pallier les lacunes existantes dans le contrôle des finances publiques.
Une des recommandations majeures de l'ONG 3D porte sur la directive de l'UEMOA. Laquelle stipule que « l'audit général des finances publiques doit être réalisé après le mandat du président sortant ». Cette directive, bien qu'utile, devrait être révisée pour inclure la possibilité de réaliser un audit à mi-mandat. « Un tel audit, souligne l'ONG, permettrait d'identifier les éventuelles lacunes en temps utile et de disposer des indicateurs nécessaires pour corriger les dérives avant la fin du mandat. Cela éviterait de devoir constater les dégâts a posteriori, comme cela a pu être le cas par le passé. »
Moundiaye Cissé considère que « la mise en œuvre d'audits à mi-mandat, en plus de l'audit final, constituerait une avancée significative dans la gestion des finances publiques, contribuant à une meilleure transparence et à la prévention des abus. En effet, ces audits réguliers garantiraient que les ressources publiques soient utilisées de manière optimale et dans l'intérêt des citoyens ».
L'ONG 3D insiste sur le fait qu'un cadre rigoureux et transparent est indispensable pour éviter la répétition de telles situations et pour assurer une gestion saine des finances publiques à l'avenir. Tout en saluant les avancées réalisées jusqu'à présent, l'ONG rappelle que l'engagement en faveur de la transparence et de la rigueur doit demeurer une priorité pour les pouvoirs publics.
Autres articles
-
Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026
-
Budget 2026 : plus de 148 milliards FCFA alloués au ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle
-
Budget Hydraulique 2026 : Ayib Daffé alerte sur les défis structurels de l’accès à l’eau au Sénégal
-
Maintien de Moustapha Diop en prison : Le parti Farlu dénonce l’attitude du Premier président de la Cour d’appel de Dakar
-
Assemblée nationale : Le “terameeting” de Sonko à l’origine d’un clash entre deux députées de l’opposition





Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026


