Jamais José Mário Vaz n’a été si direct, étalant au grand jour ce que lui-même a appelé « le dossier rouge sur la corruption », un volumineux dossier traitant plusieurs opérations de malversations financières estimées à environ 100 millions d’euros indument retirés des coffres de l’Etat. « Aujourd’hui, les preuves existent », a-t-il déclaré.
A cela s’ajoutent les nombreuses questions à propos de la destination des 35 milliards de francs CFA du Fonds monétaire international (FMI) utilisés pour éponger la dette des opérateurs économiques locaux. Une dette contractée auprès des banques privées de la place.
Les preuves sont « plus que suffisantes et disponibles pour que la justice fasse son travail », a déclaré le président Vaz qui a par ailleurs annoncé la mise sur place d’une Commission anticorruption pour décourager les agents véreux, encore tapis dans l’ombre.
Pour plusieurs analystes politiques interrogés par Rfi, [la vérification] des comptes publics doit être faite par un cabinet indépendant et non par des personnalités qui sont à la fois juges et parties.
A cela s’ajoutent les nombreuses questions à propos de la destination des 35 milliards de francs CFA du Fonds monétaire international (FMI) utilisés pour éponger la dette des opérateurs économiques locaux. Une dette contractée auprès des banques privées de la place.
Les preuves sont « plus que suffisantes et disponibles pour que la justice fasse son travail », a déclaré le président Vaz qui a par ailleurs annoncé la mise sur place d’une Commission anticorruption pour décourager les agents véreux, encore tapis dans l’ombre.
Pour plusieurs analystes politiques interrogés par Rfi, [la vérification] des comptes publics doit être faite par un cabinet indépendant et non par des personnalités qui sont à la fois juges et parties.
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