Amadou BA et ses services réagissent enfin sur les accusations portées par certains agents de l’Etat, le Syndicat des travailleurs de la justice (Syjust) entre autres, de vouloir supprimer les heures supplémentaires : «Le ministère de l’Economie des Finances et du Plan tient à préciser que, non seulement une telle mesure n’est pas envisagée, mais elle contredirait même la stratégie de l’Etat visant à développer la performance des agents publics dans un climat apaisé», peut-on lire dans leur communiqué parvenu à notre rédaction.
Se basant sur le décret du 03 mars 1979 fixant les conditions d’attribution des indemnités pour travaux supplémentaires modifié par le décret du 14 février 1995 les services d’Amadou Ba rappellent : «Le texte est clair, les heures supplémentaires ne sont pas un droit que détiendrait automatiquement et spontanément tout agent de l’Etat. Leur calcul obéit à des conditions précises qui, si elles ne sont pas respectées, doivent entraîner leur rejet immédiat ou à défaut, les sanctions prévues par la réglementation».
Mais le ministère informe qu’après des contrôles, il a été constaté certaines anomalies dans la gestion des heures supplémentaires. Et ce, même dans ce mois de novembre : «des vérifications effectuées ont permis de déceler des incohérences pour un montant total de 446 790 231 francs Cfa devant faire l’objet d’un rejet, conformément à la réglementation».
Néanmoins, le ministère informe que les heures supplémentaires «correctement calculées pour un montant de 1 385 446 846 francs Cfa», vont être virées aux bénéficiaires en même temps que les salaires du mois de novembre, en lieu et place des 1 832 259 077 francs Cfa, qui étaient la somme calculée avant la sortie des résultats des contrôles.
Se basant sur le décret du 03 mars 1979 fixant les conditions d’attribution des indemnités pour travaux supplémentaires modifié par le décret du 14 février 1995 les services d’Amadou Ba rappellent : «Le texte est clair, les heures supplémentaires ne sont pas un droit que détiendrait automatiquement et spontanément tout agent de l’Etat. Leur calcul obéit à des conditions précises qui, si elles ne sont pas respectées, doivent entraîner leur rejet immédiat ou à défaut, les sanctions prévues par la réglementation».
Mais le ministère informe qu’après des contrôles, il a été constaté certaines anomalies dans la gestion des heures supplémentaires. Et ce, même dans ce mois de novembre : «des vérifications effectuées ont permis de déceler des incohérences pour un montant total de 446 790 231 francs Cfa devant faire l’objet d’un rejet, conformément à la réglementation».
Néanmoins, le ministère informe que les heures supplémentaires «correctement calculées pour un montant de 1 385 446 846 francs Cfa», vont être virées aux bénéficiaires en même temps que les salaires du mois de novembre, en lieu et place des 1 832 259 077 francs Cfa, qui étaient la somme calculée avant la sortie des résultats des contrôles.
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