«C’est le destin de la Nation qui se joue en ce moment. Cela dépasse le président de la République. Cela dépasse les juges du Conseil constitutionnel. Il s’agit de notre Constitution, de notre Loi fondamentale qui est la mère de toutes les règles de Droit». Cette déclaration est d’Idrissa Seck qui s’insurgeait contre la sortie du chef de l’Etat qui assimilait l’opposition à d’éternels perdants.
Le président du parti Rewmi qui était en déplacement en France, se désole de cette communication, car, soutient-il, le référendum n’est pas une lutte : «il est parti au Grand Théâtre pour dire que le référendum est un tournoi de lutte. Il dit qu’il est le meilleur lutteur et qu’il est le champion. Mais le référendum n’est pas un tournoi de lutte. Mais le référendum n’est pas un tournoi de lutte. J’ignore même comment il l’a évoqué, puisqu’il a parlé en sérère», clame-t-il.
Et le président du Conseil départemental de Thiès de poursuivre : «Il est le président de la République qui doit appeler son peuple au référendum, discuter avec les populations pour réformer la Constitution. Et le peuple lui dit «Non », puisque ce n’est pas clair dans leur tête. Il noue son pagne et appelle les gens à lutter. Mais c’est très grave».
Mais la posture du chef de l’Etat répond à une logique d’un manque de confiance en lui puisque : «Le président de la République n’a pas besoin de dire que je suis debout. S’il est debout, on le voit. Il n’a pas besoin de dire qu’il est debout ou qu’il est fort».
Le président du parti Rewmi qui était en déplacement en France, se désole de cette communication, car, soutient-il, le référendum n’est pas une lutte : «il est parti au Grand Théâtre pour dire que le référendum est un tournoi de lutte. Il dit qu’il est le meilleur lutteur et qu’il est le champion. Mais le référendum n’est pas un tournoi de lutte. Mais le référendum n’est pas un tournoi de lutte. J’ignore même comment il l’a évoqué, puisqu’il a parlé en sérère», clame-t-il.
Et le président du Conseil départemental de Thiès de poursuivre : «Il est le président de la République qui doit appeler son peuple au référendum, discuter avec les populations pour réformer la Constitution. Et le peuple lui dit «Non », puisque ce n’est pas clair dans leur tête. Il noue son pagne et appelle les gens à lutter. Mais c’est très grave».
Mais la posture du chef de l’Etat répond à une logique d’un manque de confiance en lui puisque : «Le président de la République n’a pas besoin de dire que je suis debout. S’il est debout, on le voit. Il n’a pas besoin de dire qu’il est debout ou qu’il est fort».
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