Le chef de l’Etat, Macky Sall, a reçu mercredi dernier, en présence du ministre de la Justice, Me Malick Sall, l’Union des Magistrats du Sénégal (Ums) au Palais de la République. Des décisions majeures ont été prises lors de cet entretien.
Il s’agit de la mise en compétition des postes de Procureurs et de Présidents de Tribunaux, longtemps réclamés par les magistrats pour consolider leur indépendance et de la hausse de la pension de retraite.
S’agissant du premier point, le chef de l’Etat a donné son accord, sauf pour les chefs de cour. Sa décision concerne les Tribunaux de Grande Instance (TGI) et les Tribunaux d’Instance (TI).
«C’est une mesure révolutionnaire qui va renforcer l’indépendance des magistrats, parce qu’on ne sera plus nommé à la discrétion du ministre ou du président de la République. Il reviendra à la Commission du Conseil Supérieur de la magistrature (Csm) de faire des propositions à la nomination sur la base de critères de compétence. Personne ne sera sentira plus de redevable de qui que ce soit », explique une source qui s’est confiée à « L’As ».
Sur leurs pensions de retraite qui va passer de 300 000 à 800 000 F Cfa par mois, soit une hausse de 500 000 F Cfa, la même source dément. Elle informe que "ce n’est pas vrai". "Aucune décision n’a été prise dans ce sens. Lors de la rencontre, il a certes été question de la revalorisation de notre pension de retraite, mais aucune décision n’a été prise. Il n’y a pas d’accord. On a déposé une étude. On reste à l’écoute", précise-t-elle.
Il s’agit de la mise en compétition des postes de Procureurs et de Présidents de Tribunaux, longtemps réclamés par les magistrats pour consolider leur indépendance et de la hausse de la pension de retraite.
S’agissant du premier point, le chef de l’Etat a donné son accord, sauf pour les chefs de cour. Sa décision concerne les Tribunaux de Grande Instance (TGI) et les Tribunaux d’Instance (TI).
«C’est une mesure révolutionnaire qui va renforcer l’indépendance des magistrats, parce qu’on ne sera plus nommé à la discrétion du ministre ou du président de la République. Il reviendra à la Commission du Conseil Supérieur de la magistrature (Csm) de faire des propositions à la nomination sur la base de critères de compétence. Personne ne sera sentira plus de redevable de qui que ce soit », explique une source qui s’est confiée à « L’As ».
Sur leurs pensions de retraite qui va passer de 300 000 à 800 000 F Cfa par mois, soit une hausse de 500 000 F Cfa, la même source dément. Elle informe que "ce n’est pas vrai". "Aucune décision n’a été prise dans ce sens. Lors de la rencontre, il a certes été question de la revalorisation de notre pension de retraite, mais aucune décision n’a été prise. Il n’y a pas d’accord. On a déposé une étude. On reste à l’écoute", précise-t-elle.
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