Khalifa Sall tient à se conformer à la loi. C’est du moins ce qu’il a fait savoir à son assistante qui lui a présenté des documents à signer après que le chef de l’Etat ait pris la décision de le révoquer de la tête de la mairie de Dakar. En effet, le désormais ex maire lui a répondu : «Ah oui, je dois signer ? Mais tu oublies que je ne suis plus maire ?», a rapporté le quotidien Les Echos. Le décret entrant en vigueur dès sa signature, Khalifa Sall était dans l’obligation de la respecter jusqu’au verdict que va prononcer la Cour Suprême que ses conseils vont saisir.
Néanmoins, M. Sall ne se montre nullement ébranlé par ledit décret, ont annoncé ses partisans. Car de l’avis de ces derniers, il continue d’en rire et se focalise sur l’essentiel à savoir disposer du nombre de parrainages suffisants lui permettant de pouvoir espérer faire face à «son bourreau» le 24 février 2019.
Néanmoins, M. Sall ne se montre nullement ébranlé par ledit décret, ont annoncé ses partisans. Car de l’avis de ces derniers, il continue d’en rire et se focalise sur l’essentiel à savoir disposer du nombre de parrainages suffisants lui permettant de pouvoir espérer faire face à «son bourreau» le 24 février 2019.
Autres articles
-
Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026
-
Budget 2026 : plus de 148 milliards FCFA alloués au ministère de l’Emploi et de la Formation Professionnelle
-
Budget Hydraulique 2026 : Ayib Daffé alerte sur les défis structurels de l’accès à l’eau au Sénégal
-
Maintien de Moustapha Diop en prison : Le parti Farlu dénonce l’attitude du Premier président de la Cour d’appel de Dakar
-
Assemblée nationale : Le “terameeting” de Sonko à l’origine d’un clash entre deux députées de l’opposition





Formation professionnelle : 38 nouveaux centres et 300 formateurs recrutés, les mesures phares pour 2026


