Des organisations comme Amnesty International section Sénégal, la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme et le Forum civil tente de raisonner les différentes parties en conflit actuellement. Elles se sont préoccupées des conséquences qui pourraient découler de l’arrestation d’Alioune Tine, coordonnateur du M23 et président de la RADDHO par la DIC. «Nos organisations sont d’autant plus préoccupées qu’elles viennent d’être saisies de menaces d’arrestation de certains leaders de l’opposition et de la société civile notamment Monsieur Alioune TINE, Président de la RADDHO et coordinateur du Mouvement du 23 juin (M23)», ont-elles indiqué dans un communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik.com.
«Conscientes du fait que de telles éventualités pourraient être de nature à exacerber la crise politico-sociale actuelle, nos organisations appellent les autorités et les mouvements politiques d’opposition à la retenue en vue d’un apaisement et de l’amorce d’un dialogue permettant le retour de la sérénité et l’organisation d’élections libres, transparentes et apaisées» a précisé le document.
Amnesty International Sénégal, la LSDH et le Forum civil ont, par ailleurs regretté «profondément les incidents graves survenus dans la nuit du 27 janvier 2012 au Sénégal suite à la publication de la décision du Conseil constitutionnel arrêtant la liste des candidats à l’élection présidentielle de février 2012 et particulièrement le décès du policier Fodé NDIAYE dans des circonstances non encore élucidées».
Dans le même sillage, elles ont exprimé «leurs plus vives inquiétudes et leurs craintes quant à une persistance de la tension actuelle et appellent au dépassement, à la préservation de la paix sociale et de nos acquis démocratiques».
«Conscientes du fait que de telles éventualités pourraient être de nature à exacerber la crise politico-sociale actuelle, nos organisations appellent les autorités et les mouvements politiques d’opposition à la retenue en vue d’un apaisement et de l’amorce d’un dialogue permettant le retour de la sérénité et l’organisation d’élections libres, transparentes et apaisées» a précisé le document.
Amnesty International Sénégal, la LSDH et le Forum civil ont, par ailleurs regretté «profondément les incidents graves survenus dans la nuit du 27 janvier 2012 au Sénégal suite à la publication de la décision du Conseil constitutionnel arrêtant la liste des candidats à l’élection présidentielle de février 2012 et particulièrement le décès du policier Fodé NDIAYE dans des circonstances non encore élucidées».
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