L’Etat du Sénégal va soumettre trois (3) projets de lois relatifs à l’exploitation des hydrocarbures à l’Assemblée nationale au courant du mois de décembre 2018. L’annonce a été faite par le président de la République lors de l’ouverture de la Conférence africaine sur la divulgation de l’identité des propriétaires réels des entreprises extractives, organisée par l’Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE).
«Il s’agira de projets la loi portant nouveau code pétrolier, du projet de loi portant des partages des revenus issus de l’exploitation futur des hydrocarbures du pétrole et du gaz, et le troisième devant définir un contenu local dans l’industrie du pétrole et du gaz», liste le Président Macky Sall.
Dans le même sillage, le chef de l’Etat a réitéré devant ses collaborateurs la volonté du gouvernement de s’inscrire dans le cadre d’une gestion transparente des ressources naturelles. Il rappelle à cet effet que «le code pétrolier est en cours de révision depuis novembre 2016. Ce, pour prendre davantage plus de considérations les exigences de transparence parce que les codes, par le passé, prévoyaient toujours une clause de confidentialité».
Poursuivant, il ajoute, «Aujourd’hui, pour les nécessités de la transparence, on est obligé de s’inscrire de façon à pouvoir couvrir l’ensemble des contrats pétroliers, miniers et gazier».
«Il s’agira de projets la loi portant nouveau code pétrolier, du projet de loi portant des partages des revenus issus de l’exploitation futur des hydrocarbures du pétrole et du gaz, et le troisième devant définir un contenu local dans l’industrie du pétrole et du gaz», liste le Président Macky Sall.
Dans le même sillage, le chef de l’Etat a réitéré devant ses collaborateurs la volonté du gouvernement de s’inscrire dans le cadre d’une gestion transparente des ressources naturelles. Il rappelle à cet effet que «le code pétrolier est en cours de révision depuis novembre 2016. Ce, pour prendre davantage plus de considérations les exigences de transparence parce que les codes, par le passé, prévoyaient toujours une clause de confidentialité».
Poursuivant, il ajoute, «Aujourd’hui, pour les nécessités de la transparence, on est obligé de s’inscrire de façon à pouvoir couvrir l’ensemble des contrats pétroliers, miniers et gazier».
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