La délégation du Conseil de sécurité des Nations unies est plutôt satisfaite de sa visite à Bamako, Mopti et Tombouctou dans le Nord. Mais maintenant il faut aller vite pour franchir les étapes importantes dans l’application de l’accord de paix.
François Delattre, représentant permanent de la France à l’Onu est membre de la délégation. « Il y a la question du désarmement, il y a également la question de la décentralisation et de sa mise en œuvre qui est absolument clé, la question de la réintégration des anciens combattants, une fois que le désarmement sera fait, la question du redéploiement de l’Etat malien au nord du Mali » égraine le diplomate français.
« Muscler » le mandat de l’ONU
Sur la question de muscler le mandat de l’Onu au Mali pour plus d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme, le diplomate français affirme que le mandat actuel est robuste, mais que des efforts seront déployés dans d’autres domaines.
« Mais vous avez derrière la question de la formation, la question de l’équipement, ajoute François Delattre. Et là, nous avons reçu des messages, je crois, convergents, qui montrent qu’il est possible de faire à certains égards plus et mieux sur ces deux points notamment ».
Ajoutons que l’ONU soutient très fortement le Forum paix et réconciliation prévu avant la fin de ce mois à Kidal, localité contrôlée par les rebelles. En principe, une délégation du gouvernement malien participera à cette rencontre.
Source:Rfi.fr
François Delattre, représentant permanent de la France à l’Onu est membre de la délégation. « Il y a la question du désarmement, il y a également la question de la décentralisation et de sa mise en œuvre qui est absolument clé, la question de la réintégration des anciens combattants, une fois que le désarmement sera fait, la question du redéploiement de l’Etat malien au nord du Mali » égraine le diplomate français.
« Muscler » le mandat de l’ONU
Sur la question de muscler le mandat de l’Onu au Mali pour plus d’efficacité dans la lutte contre le terrorisme, le diplomate français affirme que le mandat actuel est robuste, mais que des efforts seront déployés dans d’autres domaines.
« Mais vous avez derrière la question de la formation, la question de l’équipement, ajoute François Delattre. Et là, nous avons reçu des messages, je crois, convergents, qui montrent qu’il est possible de faire à certains égards plus et mieux sur ces deux points notamment ».
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Source:Rfi.fr
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