«Depuis le début de la douzième législature, la questure ne couvre que 20% des droits au logement des députés. Pour réparer cette anomalie et les empêcher d’être injustement les victimes d’une situation qu’ils n’ont pas créée, le Président de l’Assemblée nationale, et non le Président Macky SALL, contrairement aux contrevérités de Doudou WADE, a pris la décision d’allouer aux parlementaires une indemnité mensuelle exceptionnelle de 150 000 f CFA. Cette mesure a été prise dans le seul but de leur permettre de supporter toutes les charges d’hébergement liées à leur fonction», a déclaré Moustapha Diakhaté dans un communiqué parvenu à la rédaction de PressAfrik.com. Il a tenu à préciser que «cet appui provisoire prendra fin dès l’achèvement des travaux de restauration de l’Hôtel des Députés de Sandaga».
Le président du groupe parlementaire de la majorité n’y va pas du dos de la cuillère : «partir de ce moment, parler d’augmentation de salaires, dans ces conditions comme l’a fait l’ancien Président de groupe de la funeste majorité libérale, relève de la mauvaise foi et d’une entreprise perfide pour salir, discréditer la nouvelle majorité et tenter d’effacer dans la mémoire collective les dégâts de 12 ans de déconstruction de l’Assemblée nationale». Et de souligner que ce n’est que peine perdue parce que «les Sénégalais de bonne foi peuvent apprécier positivement les réformes réalisées en moins de 8 mois par la douzième législature que sont la suppression des inutiles et budgétivores institutions telles que le Sénat et la Vice-présidence de la République, l’adoption des lois pour la bonne gouvernance, le progrès social comme le code de transparence, celles portant création de l'Office national anti-corruption (OFNAC), la bourse de sécurité familiale et de la Couverture maladie universelle». Il a aussi mis sur la table «la mise en place des outils financiers qui ont toujours fait défaut à notre économie avec l’adoption des lois portant création de Fonds souverain d’investissements stratégiques (le Fonsis), et fonds de garantie des investissements prioritaires (le Fongip) et la transformation du Fonds de promotion économique (le Fpe) en Banque nationale de développement (la Bnde)».
Moustapha Diakhaté est aussi revenu sur «l’abrogation prochaine des lois scélérates dont celle portant l’amnistie du commanditaire et auteurs de l’assassinat de Maitre Babacar SEYE, la constitution d’une commission d’enquête parlementaire pour trouver les vrais bénéficiaires des Milliards issus du décret d’avance 2012-198 du 23 janvier 2012 pris par Abdoulaye WADE «en faveur» de l’Assemblée nationale». Toujours dans une perspective de bilan, il a évoqué «l’annulation de l’illégale expulsion de l’Assemblée nationale des députés Moustapha Cissé LO et Mbaye NDIAYE».
Moustapha Diakhaté a indiqué que «si cela a pu être réalisé, c’est que la douzième législature s’appuie sur une majorité qui n’a qu’un seul souci, mettre en oeuvre les ruptures pour lesquelles les Sénégalais ont élu Macky SALL». Et de conclure : «ce qui est aux antipodes de la praxis parlementaire de Doudou WADE dont le bilan législatif se résume aux tristes tripatouillages de la constitution et de la honteuse vassalisation de la représentation nationale».
Le président du groupe parlementaire de la majorité n’y va pas du dos de la cuillère : «partir de ce moment, parler d’augmentation de salaires, dans ces conditions comme l’a fait l’ancien Président de groupe de la funeste majorité libérale, relève de la mauvaise foi et d’une entreprise perfide pour salir, discréditer la nouvelle majorité et tenter d’effacer dans la mémoire collective les dégâts de 12 ans de déconstruction de l’Assemblée nationale». Et de souligner que ce n’est que peine perdue parce que «les Sénégalais de bonne foi peuvent apprécier positivement les réformes réalisées en moins de 8 mois par la douzième législature que sont la suppression des inutiles et budgétivores institutions telles que le Sénat et la Vice-présidence de la République, l’adoption des lois pour la bonne gouvernance, le progrès social comme le code de transparence, celles portant création de l'Office national anti-corruption (OFNAC), la bourse de sécurité familiale et de la Couverture maladie universelle». Il a aussi mis sur la table «la mise en place des outils financiers qui ont toujours fait défaut à notre économie avec l’adoption des lois portant création de Fonds souverain d’investissements stratégiques (le Fonsis), et fonds de garantie des investissements prioritaires (le Fongip) et la transformation du Fonds de promotion économique (le Fpe) en Banque nationale de développement (la Bnde)».
Moustapha Diakhaté est aussi revenu sur «l’abrogation prochaine des lois scélérates dont celle portant l’amnistie du commanditaire et auteurs de l’assassinat de Maitre Babacar SEYE, la constitution d’une commission d’enquête parlementaire pour trouver les vrais bénéficiaires des Milliards issus du décret d’avance 2012-198 du 23 janvier 2012 pris par Abdoulaye WADE «en faveur» de l’Assemblée nationale». Toujours dans une perspective de bilan, il a évoqué «l’annulation de l’illégale expulsion de l’Assemblée nationale des députés Moustapha Cissé LO et Mbaye NDIAYE».
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