«Quoi qu’il advienne, nous devons tous nous battre pour l’avancement de ce pays. Ce sont les griefs des Sénégalais qui nous poussent aujourd’hui à organiser ce rassemblement. Les griefs vont du fait que les dépenses sont trop trop chères, aux problèmes des Sénégalais, jusqu’aux paysans qui n’arrivent pas à écouler leurs produits. On nous parle également de bons impayés. Les griefs vont aussi de l’absence de politique pour l’avenir», assène le coordonnateur du mouvement «Y’en a Marre», Fadel Barro.
Ce, au moment où la foule grossit de plus en plus à la Place de la Nation, ex-Obélisque
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