Les acteurs de la société civile et ces acteurs politiques veulent prendre les choses en main pour éviter des tensions et des crises pendant les périodes pré-électorale, électorale et post-électorale. Le livre blanc qui découlera de ces propositions mettra en exergue les dysfonctionnements notés lors des élections passées, ainsi que des propositions innovantes pour éliminer les goulets d’étranglement.
À cet égard, une palette de recommandations gravitera autour des organes de gestion des élections, de l’inscription sur le fichier électoral, de l’inclusivité, de l’enregistrement des candidatures, de la campagne électorale et du financement des partis politiques.
Selon le président du Collectif des organisations de la société civile pour les élections, Pr Babacar Guèye, ces réformes devraient permettre une refonte du système électoral. « Ces réformes concernent aussi l’organe de gestion des élections, notamment les institutions. Qui va organiser les élections ? Est-ce que cela doit être un système comme on le voit dans certains pays africains où c’est la commission électorale nationale autonome (Cena) qui organise les élections ? Faut-il un système mixte ? L’organe de supervision ou l’organe qui va organiser les élections doit-il être exclusivement composé de personnalités neutres ou doit-on inclure les politiques ? Toutes ces questions seront traitées. À l’issue des travaux, nous allons identifier une réponse précise que nous proposerons lors des futures concertations », a déclaré le Pr Babacar Guèye dans les colonnes de L'Observateur.
Il a également précisé que le rôle du Conseil constitutionnel sera examiné. La société civile a donné sa position tranchée sur le contrôle des parrainages par le conseil constitutionnel. « On ne peut pas leur confier le travail de contrôle des parrainages. La préférence exprimée dans le sondage indique qu’il faut confier cette tâche à la commission nationale autonome (Cena). Il y aura des propositions structurantes qui vont entraîner des changements véritables dans notre système électoral. »
Lors de ces assises, les parties se sont également penchées sur la mise en place d’une haute autorité des élections et du transfert de prérogatives de la Dge à la Cena. La question de l’inscription automatique des électeurs sur le fichier électoral était également à l’étude
À cet égard, une palette de recommandations gravitera autour des organes de gestion des élections, de l’inscription sur le fichier électoral, de l’inclusivité, de l’enregistrement des candidatures, de la campagne électorale et du financement des partis politiques.
Selon le président du Collectif des organisations de la société civile pour les élections, Pr Babacar Guèye, ces réformes devraient permettre une refonte du système électoral. « Ces réformes concernent aussi l’organe de gestion des élections, notamment les institutions. Qui va organiser les élections ? Est-ce que cela doit être un système comme on le voit dans certains pays africains où c’est la commission électorale nationale autonome (Cena) qui organise les élections ? Faut-il un système mixte ? L’organe de supervision ou l’organe qui va organiser les élections doit-il être exclusivement composé de personnalités neutres ou doit-on inclure les politiques ? Toutes ces questions seront traitées. À l’issue des travaux, nous allons identifier une réponse précise que nous proposerons lors des futures concertations », a déclaré le Pr Babacar Guèye dans les colonnes de L'Observateur.
Il a également précisé que le rôle du Conseil constitutionnel sera examiné. La société civile a donné sa position tranchée sur le contrôle des parrainages par le conseil constitutionnel. « On ne peut pas leur confier le travail de contrôle des parrainages. La préférence exprimée dans le sondage indique qu’il faut confier cette tâche à la commission nationale autonome (Cena). Il y aura des propositions structurantes qui vont entraîner des changements véritables dans notre système électoral. »
Lors de ces assises, les parties se sont également penchées sur la mise en place d’une haute autorité des élections et du transfert de prérogatives de la Dge à la Cena. La question de l’inscription automatique des électeurs sur le fichier électoral était également à l’étude
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