Les Organes Répressifs de l'Etat (ORE) ne dorment plus sur leurs deux oreilles. A moins de deux mois de l'élection présidentielle, alors que les observateurs craignent le pire, vue la tension qui subsiste dans le chamlp politique, la Police, la Gendarmerie et l'Armée mettent en oeuvre un plan stratégique pour éviter que le pays ne sombre dans le chaos.
"Le niveau de risques sera évalué par l'Unité de coordination de la lutte anti-terroriste qui déterminera, le moment venu, le nombre d'agents du Gign ou de la Bip qu'elle accorde à chaque candidat. Les manifestations au-delà de 21 heures pourraient être purement et simplement interdites. Sans parler de probables fouilles dans les Qg de campagne des candidats". Telles sont, entre autres mesures, celles envisagées par l'État pour contenir d'éventuels débordements avant, pendant et après la présidentielle, d'après une source du journal "Source A"
Nos confrères parlent de "l'instauration de périmètres de sécurité, la fermeture de certains lieux et axes routiers, la permission donnée à l'Autorité administrative d'opérer des contrôles et d'arrêter certaines manifestations et l'autorisation accordée aux préfets, sous-préfets et officiers de police judiciaire de visiter tous les lieux pouvant être dangereux".
Le ministère de l'Intérieur et celui des Forces armées sont en état d'alerte...
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