La tension politique au Sénégal interpelle plus d'un. Et la France n'est pas en reste. Le Quai d'Orsay , en réponse à une lettre d'un député, a exprimé son inquiétude sur l'accroissement des tensions politiques au Sénégal, à quelques mois de la présidentielle de 2024.
En tant que partenaire et "amie" du Sénégal, l'hexagone dit suivre "avec attention" l'évolution de la situation politique du Sénégal notamment dans la perspective de l'élection présidentielle de février 2024.
" Vous le savez, la France soutient, en Afrique comme ailleurs, la démocratie, les droits de l'Homme et la liberté d'expression. Le Président de la République l'a rappelé lors de son discours sur le partenariat avec l'Afrique le 27 février dernier. Dans ce cadre, nous formons le vœu que la longue tradition démocratique et la stabilité du Sénégal soient préservées et que le pays connaisse un processus électoral apaisé, inclusif, transparent et conforme aux standards internationaux", a indiqué dans une note, madame Catherine Colonna à Jean -Paul Lecoq, le chargé de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française.
La France fait remarquer dans ce même sillage qu'elle n'a pas vocation à "s'immiscer dans la vie politique sénégalaise". En revanche, "dans le cadre d'un dialogue régulier et confiant avec les autorités sénégalaises, nous leur avons fait part de notre inquiétude quant à l'accroissement des tensions à l'approche de l'élection de 2024", s'est -elle expliquée.
La ministre des Affaires étrangères de la France en rajoute que "la poursuite de cette situation serait en effet préjudiciable pour le Sénégal, avec lequel nous entretenons des relations riches et denses, comme en témoignent de nombreuses actions de partenariat entre nos deux pays, notamment en faveur de la jeunesse qui est une priorité partagée."
La France qui demeure attentive à la préparation et au déroulement du processus électoral informe par la voix de sa ministre des Affaires étrangères dit maintenir un "dialogue régulier avec l'ensemble des acteurs sénégalais, notamment l'opposition et la société civile."
En tant que partenaire et "amie" du Sénégal, l'hexagone dit suivre "avec attention" l'évolution de la situation politique du Sénégal notamment dans la perspective de l'élection présidentielle de février 2024.
" Vous le savez, la France soutient, en Afrique comme ailleurs, la démocratie, les droits de l'Homme et la liberté d'expression. Le Président de la République l'a rappelé lors de son discours sur le partenariat avec l'Afrique le 27 février dernier. Dans ce cadre, nous formons le vœu que la longue tradition démocratique et la stabilité du Sénégal soient préservées et que le pays connaisse un processus électoral apaisé, inclusif, transparent et conforme aux standards internationaux", a indiqué dans une note, madame Catherine Colonna à Jean -Paul Lecoq, le chargé de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française.
La France fait remarquer dans ce même sillage qu'elle n'a pas vocation à "s'immiscer dans la vie politique sénégalaise". En revanche, "dans le cadre d'un dialogue régulier et confiant avec les autorités sénégalaises, nous leur avons fait part de notre inquiétude quant à l'accroissement des tensions à l'approche de l'élection de 2024", s'est -elle expliquée.
La ministre des Affaires étrangères de la France en rajoute que "la poursuite de cette situation serait en effet préjudiciable pour le Sénégal, avec lequel nous entretenons des relations riches et denses, comme en témoignent de nombreuses actions de partenariat entre nos deux pays, notamment en faveur de la jeunesse qui est une priorité partagée."
La France qui demeure attentive à la préparation et au déroulement du processus électoral informe par la voix de sa ministre des Affaires étrangères dit maintenir un "dialogue régulier avec l'ensemble des acteurs sénégalais, notamment l'opposition et la société civile."
Autres articles
-
Politique : Mamour Cissé fait des révélations et invite Amadou Ba à prendre son destin en main
-
Fonds Covid : noms des personnes figurant sur la liste envoyée au procureur de la République
-
"La rupture ne doit pas être un slogan ou des idéaux", (Monseigneur André Guèye)
-
Séjour de Jean-Luc Mélenchon au Sénégal sur invitation de Sonko : le leader de PSD/Jant bi estime que Sonko n’est pas conscient que sa casquette a changé
-
"L'opposition est en train de préparer une grande alliance contre le pouvoir en place", (Mamour Cissé)