
Ibrahima Nour Eddine Diagne, administrateur général de GAINDE 2000, a réaffirmé son soutien inconditionnel à la presse, plaidant pour une subvention substantielle afin de permettre aux médias de remplir leur mission essentielle dans la société. Selon lui, "la presse joue un rôle crucial non seulement dans l'information, mais aussi dans l'éducation, le civisme, et la promotion des valeurs et de la culture."
M. Diagne a également proposé la création d'un fonds dédié à la production de contenus utiles, ainsi qu'un musée de la presse, doté d'une capacité conjointe d'archivage numérisé, pour préserver et valoriser l'histoire des médias. Ce musée serait accompagné par la création de revenus spécifiques pour la fondation de la presse.
En contrepartie de cette subvention accrue, il suggère que les entreprises de presse intègrent des administrateurs indépendants dans leurs conseils d'administration. Parmi ces administrateurs, on compterait des spécialistes en éthique, en jeunesse, et en sociologie, afin d'assurer un équilibre entre professionnalisme et responsabilité sociale.
Pour financer ces initiatives, M. Diagne propose trois leviers principaux : " Une taxe indolore sur les publicités diffusées sur les réseaux sociaux ; Un prélèvement sur les abonnements internet, variant entre 10 et 500 francs CFA ; Un soutien financier du Trésor public."
Il insiste également sur la nécessité de mettre en place un observatoire indépendant qui aurait la capacité de retirer les subventions aux organes de presse ne respectant pas les règles déontologiques.
Pour Ibrahima Nour Eddine Diagne, il est impératif que la presse reste responsable et professionnelle. Selon lui, sans une presse forte et bien soutenue, la société risque de se fragmenter, devenant « irrécupérable ». Il conclut en rappelant qu'il soutient ces idées depuis des années, soulignant l'urgence d'agir pour renforcer le secteur des médias au Sénégal.
M. Diagne a également proposé la création d'un fonds dédié à la production de contenus utiles, ainsi qu'un musée de la presse, doté d'une capacité conjointe d'archivage numérisé, pour préserver et valoriser l'histoire des médias. Ce musée serait accompagné par la création de revenus spécifiques pour la fondation de la presse.
En contrepartie de cette subvention accrue, il suggère que les entreprises de presse intègrent des administrateurs indépendants dans leurs conseils d'administration. Parmi ces administrateurs, on compterait des spécialistes en éthique, en jeunesse, et en sociologie, afin d'assurer un équilibre entre professionnalisme et responsabilité sociale.
Pour financer ces initiatives, M. Diagne propose trois leviers principaux : " Une taxe indolore sur les publicités diffusées sur les réseaux sociaux ; Un prélèvement sur les abonnements internet, variant entre 10 et 500 francs CFA ; Un soutien financier du Trésor public."
Il insiste également sur la nécessité de mettre en place un observatoire indépendant qui aurait la capacité de retirer les subventions aux organes de presse ne respectant pas les règles déontologiques.
Pour Ibrahima Nour Eddine Diagne, il est impératif que la presse reste responsable et professionnelle. Selon lui, sans une presse forte et bien soutenue, la société risque de se fragmenter, devenant « irrécupérable ». Il conclut en rappelant qu'il soutient ces idées depuis des années, soulignant l'urgence d'agir pour renforcer le secteur des médias au Sénégal.
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