Pas d'alarmisme mais une volonté d'informer de la part de l'OVG qui avait été mis en cause lors de précédente éruption du volcan Nyiragongo pour son manque d'informations. Le volcan, que l'on qualifie du plus dangereux d'Afrique et situé sur le grand rift est-africain, était entré en éruption en mai faisant une trentaine de victimes.
Il est toujours actif, révèle l'Observatoire volcanologique de Goma. L'OVG dit avoir constaté une série de trémors sur le flanc Sud du volcan entre les villes de Kibati, Shaheru et Mudjoga. Cette activité volcanique intense est surveillée de très près. « Il y a deux mois, les laves étaient déjà réapparues dans ce cratère », nous explique Ciraba Mateso, secrétaire scientifique au département de géophysique à l'Observatoire volcanologique de Goma, joint par Christina Okello de la rédaction Afrique. Une équipe a été dépêchée sur place et elle a confirmé l'intense activité du volcan. « Mais cette activité est localisée surtout au sud du volcan et concentrée dans une zone qui n’est pas habitée ».
L'OVG est en alerte mais après une éruption, un volcan garde des « point chauds », rappelle encore Ciraba Mateso, « et ce dynamisme va continuer pendant plusieurs années ». Signe de la vigilance qui persiste, le drapeau jaune flotte toujours sur la région du volcan.
En mai dernier, l'éruption et les coulées de lave avaient tué une trentaine de personnes, détruit des centaines d’habitations et fait fuir des dizaines de milliers d'habitants de la région.
Il est toujours actif, révèle l'Observatoire volcanologique de Goma. L'OVG dit avoir constaté une série de trémors sur le flanc Sud du volcan entre les villes de Kibati, Shaheru et Mudjoga. Cette activité volcanique intense est surveillée de très près. « Il y a deux mois, les laves étaient déjà réapparues dans ce cratère », nous explique Ciraba Mateso, secrétaire scientifique au département de géophysique à l'Observatoire volcanologique de Goma, joint par Christina Okello de la rédaction Afrique. Une équipe a été dépêchée sur place et elle a confirmé l'intense activité du volcan. « Mais cette activité est localisée surtout au sud du volcan et concentrée dans une zone qui n’est pas habitée ».
L'OVG est en alerte mais après une éruption, un volcan garde des « point chauds », rappelle encore Ciraba Mateso, « et ce dynamisme va continuer pendant plusieurs années ». Signe de la vigilance qui persiste, le drapeau jaune flotte toujours sur la région du volcan.
En mai dernier, l'éruption et les coulées de lave avaient tué une trentaine de personnes, détruit des centaines d’habitations et fait fuir des dizaines de milliers d'habitants de la région.
Autres articles
-
La Thaïlande et le Cambodge conviennent d'un cessez-le-feu «inconditionnel»
-
Nigeria: le nord-est du pays en proie à une crise alimentaire sans précédent
-
Mali: l'ancien Premier ministre Choguel Maïga de nouveau visé par une enquête pour malversations
-
Centrafrique: la candidature de Faustin-Archange Touadéra pour un nouveau mandat divise
-
Cameroun: l'invalidation de la candidature de Maurice Kamto à la présidentielle suscite la polémique