Après la justice, Macky Sall est en train d’user de l’arme politique pour barrer la route aux potentiels candidats à la prochaine élection présidentielle. C’est du moins l’avis de certains hommes politiques de l’opposition qui s’insurgent contre la généralisation du parrainage.
Ce projet de loi qui doit être présenté à l’Assemblée nationale impose à tout candidat de disposer de 65 000 signatures. Les signataires doivent être domiciliés dans 7 régions du Sénégal, et chaque région doit compter au moins 2000 signataires qui se sont inscrits dans le fichier électoral.
Cette mesure, même si elle est légale du fait qu’elle sera probablement adoptée plus de six mois avant la prochaine élection comme le stipule la loi régissant les pays membres de la Cedeao, n’en demeure pas moins contestée. Car, elle fait partie des points d’achoppement sur lesquels ont buté les concertations sur le processus électoral dont les conclusions ont été rendus au chef de l’Etat vendredi dernier, pour arbitrage.
A noter que le parrainage ne concernait, jusqu'à présent, que les candidatures indépendantes, lesquelles devaient disposer de 10 000 signatures dont 500 dans 6 régions du Sénégal, pour pouvoir aller à l'assaut de la Magistrature suprême.
Ce projet de loi qui doit être présenté à l’Assemblée nationale impose à tout candidat de disposer de 65 000 signatures. Les signataires doivent être domiciliés dans 7 régions du Sénégal, et chaque région doit compter au moins 2000 signataires qui se sont inscrits dans le fichier électoral.
Cette mesure, même si elle est légale du fait qu’elle sera probablement adoptée plus de six mois avant la prochaine élection comme le stipule la loi régissant les pays membres de la Cedeao, n’en demeure pas moins contestée. Car, elle fait partie des points d’achoppement sur lesquels ont buté les concertations sur le processus électoral dont les conclusions ont été rendus au chef de l’Etat vendredi dernier, pour arbitrage.
A noter que le parrainage ne concernait, jusqu'à présent, que les candidatures indépendantes, lesquelles devaient disposer de 10 000 signatures dont 500 dans 6 régions du Sénégal, pour pouvoir aller à l'assaut de la Magistrature suprême.
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