Stop à la spéculation foncière à Sindia, c’est le cri de cœur des populations de cette localité située dans le département de Mbour. A Sindia les populations voient chaque jour leurs terres de culture et d’élevage se rétrécir comme peau de chagrin.
La faute en est la spéculation foncière orchestrée par des hommes d’affaires, barrons de l’industrie et des personnalités politiques. De Bara Tall, à Idrissa Seck en passant par Babacar Ngom et le promoteur Yérim Sow, la liste est loin d’être exhaustive. Même l’international Ivoirien Didier Drogba s’est octroyé plusieurs hectares de terres à hauteur du village de Sorohk Khassap.
Cette ruée sur les terres de culture et d’élevage est aggravée par le passage de l’autoroute qui va rallier Mbour via l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD). Dans cette razzia foncière en cours à Sindia, les responsabilités sont partagées entre les populations locales et le Conseil municipal. De l’avis du Docteur Mame Cheikh Ngom géographe «Les conditions de cession ne sont pas toujours les mêmes. Parfois, ce sont les populations qui le font avec l’aide des conseillers-courtiers. Même si le conseil municipal est comptable de ces faits. Les populations vivent aujourd’hui dans la peur de se retrouver, du jour au lendemain étrangers chez elles, sans terres de culture, d’élevage, et d’habitation. Puisqu’elles sont souvent obligées de brader leurs terres pour faire face à la pauvreté galopante ».
La faute en est la spéculation foncière orchestrée par des hommes d’affaires, barrons de l’industrie et des personnalités politiques. De Bara Tall, à Idrissa Seck en passant par Babacar Ngom et le promoteur Yérim Sow, la liste est loin d’être exhaustive. Même l’international Ivoirien Didier Drogba s’est octroyé plusieurs hectares de terres à hauteur du village de Sorohk Khassap.
Cette ruée sur les terres de culture et d’élevage est aggravée par le passage de l’autoroute qui va rallier Mbour via l’aéroport international Blaise Diagne (AIBD). Dans cette razzia foncière en cours à Sindia, les responsabilités sont partagées entre les populations locales et le Conseil municipal. De l’avis du Docteur Mame Cheikh Ngom géographe «Les conditions de cession ne sont pas toujours les mêmes. Parfois, ce sont les populations qui le font avec l’aide des conseillers-courtiers. Même si le conseil municipal est comptable de ces faits. Les populations vivent aujourd’hui dans la peur de se retrouver, du jour au lendemain étrangers chez elles, sans terres de culture, d’élevage, et d’habitation. Puisqu’elles sont souvent obligées de brader leurs terres pour faire face à la pauvreté galopante ».
Autres articles
-
Enseignement supérieur : l’État envisage de dégager 3,8 milliards FCFA pour régler les bourses impayées
-
Sénégal : « Les Témoins », un nouveau think tank porté par les jeunes pour “penser et agir” autrement
-
Le fils de Madiambal Diagne brise le silence après sa libération : « Ma détention n’est qu’un rebondissement du destin »
-
Crise universitaire : Omar Pène en médiation avec les représentants de l’UCAD
-
Journée des Martyrs : les Sénégalais réagissent à l’éligibilité de Sonko et à l’indemnisation des victimes




Enseignement supérieur : l’État envisage de dégager 3,8 milliards FCFA pour régler les bourses impayées


