Un appareil de Air Sénégal International au décollage (Photo: flyfan.fte2.org)
Les travailleurs de Air Sénégal international (ASI) s’associent à la recherche de solutions au différend qui oppose ASI à la Royal Air Maroc (RAM). Lors de leur assemblée générale, tenue au siège de la compagnie, ils ont exprimé leurs soucis quant à la pérennité de leurs emplois. «Nous voulons la pérennité de nos emplois. Nous voulons être rassurés. Nous ne voulons pas que l’histoire d’Air Afrique se répète» ont-ils scandé selon Sud quotidien.
Selon eux, la compagnie est au bord de «l’agonie» avec le licenciement de certains agents et l’existence d’un unique avion de 164 places seulement. Et à en croire le secrétaire général du syndicat unique des travailleurs aériens et des activités annexes du Sénégal (Sutaas), Baila Sow, la situation risque de s’empirer «avec 500 renvois et la fermeture totale de la compagnie» ont poursuivi nos confrères.
Toutefois, les travailleurs du Sutaas ont indexé l’Etat dans cette affaire «parce qu’il a laissé les intérêts des sénégalais entre des mains inexpertes». Pour éviter le pire ils ont émis des propositions de sortie de crise aux autorités en charge du transport aérien au Sénégal. Il s’agit d’une possibilité de continuation de la gestion de la compagnie par la Royal air Maroc (RAM), la création d’une nouvelle compagnie ou un dépôt de bilan. Ils comptent néanmoins continuer la lutte par la mise en place d’une coordination syndicale, la présence de tous les travailleurs devant le bâtiment du Conseil d’administration, le port de brassards pendant 2 jours, la rencontre avec les différentes centrales syndicales et bien d’autres actions, ont-ils fait savoir.
Selon eux, la compagnie est au bord de «l’agonie» avec le licenciement de certains agents et l’existence d’un unique avion de 164 places seulement. Et à en croire le secrétaire général du syndicat unique des travailleurs aériens et des activités annexes du Sénégal (Sutaas), Baila Sow, la situation risque de s’empirer «avec 500 renvois et la fermeture totale de la compagnie» ont poursuivi nos confrères.
Toutefois, les travailleurs du Sutaas ont indexé l’Etat dans cette affaire «parce qu’il a laissé les intérêts des sénégalais entre des mains inexpertes». Pour éviter le pire ils ont émis des propositions de sortie de crise aux autorités en charge du transport aérien au Sénégal. Il s’agit d’une possibilité de continuation de la gestion de la compagnie par la Royal air Maroc (RAM), la création d’une nouvelle compagnie ou un dépôt de bilan. Ils comptent néanmoins continuer la lutte par la mise en place d’une coordination syndicale, la présence de tous les travailleurs devant le bâtiment du Conseil d’administration, le port de brassards pendant 2 jours, la rencontre avec les différentes centrales syndicales et bien d’autres actions, ont-ils fait savoir.
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