Cinq ans de guerre et une énième série de pourparlers. Le Soudan du Sud n’avance pas. Dans un communiqué, l’organisation régionale IGAD dit vouloir réunir un nouveau sommet extraordinaire pour discuter des résultats de ces négociations et envisager des actions punitives contre ceux accusés d’entraver les progrès.
Mais pour le chercheur Remember Miamingi de l’université de Pretoria, une nouvelle rencontre est une perte de temps, l’IGAD, de par sa proximité avec le régime de Juba, a perdu toute crédibilité :
« Vous ne pouvez pas organiser une nouvelle rencontre et vous attendre à un résultat différent. Tant que les mêmes membres de l’IGAD seront présents, les mêmes ministres – comme par exemple le ministre kényan Ababu qui est un ami, un soutien et un bénéficiaire du gouvernement à Juba – même si vous refaites la même réunion 10 fois avec cet individu, vous obtiendrez le même résultat. »
Plusieurs partis d'opposition et observateurs ont appelé à un changement de stratégie et demandent à l’Union africaine et aux Nations unies d'intervenir dans la médiation.
Mais pour le chercheur Remember Miamingi de l’université de Pretoria, une nouvelle rencontre est une perte de temps, l’IGAD, de par sa proximité avec le régime de Juba, a perdu toute crédibilité :
« Vous ne pouvez pas organiser une nouvelle rencontre et vous attendre à un résultat différent. Tant que les mêmes membres de l’IGAD seront présents, les mêmes ministres – comme par exemple le ministre kényan Ababu qui est un ami, un soutien et un bénéficiaire du gouvernement à Juba – même si vous refaites la même réunion 10 fois avec cet individu, vous obtiendrez le même résultat. »
Plusieurs partis d'opposition et observateurs ont appelé à un changement de stratégie et demandent à l’Union africaine et aux Nations unies d'intervenir dans la médiation.
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