Le système éducatif est paralysé à Thiès à cause de la grève décrétée par l’intersyndicale des enseignants. Ces derniers qui réclament à l’Etat le respect de ses engagements signés, ne comptent pas reculer d’un pouce et exigent des négociations «sérieuses».
Le Secrétaire général-adjoint du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) qui est revenu sur leur plateforme revendicative déclare : «Nous faisons un débrayage, ensuite il y aura deux jours de grève mercredi et jeudi. C’est pour exiger des négociations sérieuses avec l’Etat de la part de l’Etat. Parce que nous avons comme revendications, le respect des accords», a-t-il déclaré.
Alune Kane de poursuivre : «L’Etat a signé des accords qu’on a renégociés avec lui, jusqu’ç ce qu’il trouve que ce sont des accords réalistes et réalisables. Ils l’ont même dit». D’où leur ras-le-bol de cette situation.
Et pour bien le faire comprendre à l’Etat, M. Kane a déclaré que ces accords doivent être respectés. Il a aussi exhorté le gouvernement à ne pas limiter leurs revendications à la seule indemnité de logement. Car à côté, il y a les lenteurs administratives qui sont dénoncées et l'accès au crédit pour se procurer un logement entre autres.
Selon lui, ce bras-de-fer continuera tant que l’Etat n’est pas revenu à de meilleurs sentiments.
Le Secrétaire général-adjoint du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (Sels) qui est revenu sur leur plateforme revendicative déclare : «Nous faisons un débrayage, ensuite il y aura deux jours de grève mercredi et jeudi. C’est pour exiger des négociations sérieuses avec l’Etat de la part de l’Etat. Parce que nous avons comme revendications, le respect des accords», a-t-il déclaré.
Alune Kane de poursuivre : «L’Etat a signé des accords qu’on a renégociés avec lui, jusqu’ç ce qu’il trouve que ce sont des accords réalistes et réalisables. Ils l’ont même dit». D’où leur ras-le-bol de cette situation.
Et pour bien le faire comprendre à l’Etat, M. Kane a déclaré que ces accords doivent être respectés. Il a aussi exhorté le gouvernement à ne pas limiter leurs revendications à la seule indemnité de logement. Car à côté, il y a les lenteurs administratives qui sont dénoncées et l'accès au crédit pour se procurer un logement entre autres.
Selon lui, ce bras-de-fer continuera tant que l’Etat n’est pas revenu à de meilleurs sentiments.
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