
Des milliers d’habitants sont venus accueillir Tarek Haddad, l’enfant du pays qui porte les combats des jeunes dans cette ville où le chômage atteint 30%.
Dans la rue, les témoignages sont unanimes. « Il est des nôtres, il porte nos revendications » ; « C’est une joie » ; « C’est comme une fête de son retour, il est bien connu depuis trois ans ».
Trois mois de protestation en 2017
Il fut en 2017 le fer de lance d’un sit-in organisé par des jeunes chômeurs devant le site de production pétrolière d’El-Kamour, dans le désert tunisien. Trois mois de protestation qui avaient poussé le gouvernement de l’époque à s’engager dans une politique de financement local et de plus de 4 000 embauches.
Ces promesses non tenues ont entraîné une seconde vague du mouvement, toujours portée par un Tarek Haddad offensif : « Accès à l’eau potable pour tous, investissements publics, travail pour les chômeurs, amélioration du système éducatif, de la santé… ». La liste qu’il égrène est longue avec toujours ce mot d’ordre tourné vers l’avenir : « Tataouine jamais en arrière, Tataouine jamais en arrière. »
Un Conseil des ministres exceptionnel doit se pencher ce vendredi 26 juin sur les moyens d’améliorer la situation économique et sociale de la région.
Dans la rue, les témoignages sont unanimes. « Il est des nôtres, il porte nos revendications » ; « C’est une joie » ; « C’est comme une fête de son retour, il est bien connu depuis trois ans ».
Trois mois de protestation en 2017
Il fut en 2017 le fer de lance d’un sit-in organisé par des jeunes chômeurs devant le site de production pétrolière d’El-Kamour, dans le désert tunisien. Trois mois de protestation qui avaient poussé le gouvernement de l’époque à s’engager dans une politique de financement local et de plus de 4 000 embauches.
Ces promesses non tenues ont entraîné une seconde vague du mouvement, toujours portée par un Tarek Haddad offensif : « Accès à l’eau potable pour tous, investissements publics, travail pour les chômeurs, amélioration du système éducatif, de la santé… ». La liste qu’il égrène est longue avec toujours ce mot d’ordre tourné vers l’avenir : « Tataouine jamais en arrière, Tataouine jamais en arrière. »
Un Conseil des ministres exceptionnel doit se pencher ce vendredi 26 juin sur les moyens d’améliorer la situation économique et sociale de la région.
Autres articles
-
Ghana: les ministres de la Défense et de l'Environnement tués dans un accident d'hélicoptère
-
Ghana : L'hélico du président échappe à un crash
-
Soudan: les inondations dues à la saison des pluies font craindre de nouvelles épidémies
-
Rwanda: le Parlement adopte une loi sur les droits reproductifs et la télémédecine
-
Pollution plastique: les États africains en première ligne à Genève pour tenter de limiter la catastrophe