Lors de sa réplique concernant les modalités du projet de loi numéro 21/2018, portant révision du code électoral, le ministre de l'Intérieur a tenu à préciser que le parrainage n'est pas une nouvelle chose, mais il existe depuis 1991. " On ne va pas donner les parrainages au président de la République mais au Conseil Constitutionnel. Le parrainage existe depuis 1991. Le Président n’a jamais demandé les parrainages pour invalider tel ou tel candidat", a-t-il déclaré.
Ainsi, il a tenu a préciser que si, les listes électorales sortent, on ne peut plus changer les adresses électorales.
Par ailleurs, M. Ndiaye a également reproché à l'opposition de ne pas répondre au dialogue. "Le premier à déposer sa liste est validée on donne la possibilité à l’autre d’avoir d’autres parrainages. Il fallait venir aux concertations. On ne peut pas demander aux gens de venir dialoguer, ils disent non et viennent ici pour nous parler de manque de consensus", a-t-il dit.
"On ne va pas rendre public les listes de parrainages à moins que le Conseil Constitutionnel ne le décide. Cela n’existe pas dans la loi. Par contre, on va publier les listes des candidats. Parrainer quelqu’un ne veut pas dire voter pour lui. On doit communiquer avant de parler de sanctions", a-t-il laissé entendre.
Toutefois, il a tenu à préciser que pour le moment aucun chiffre avancé n’est correct parce qu’on n’a pas encore commencé les concertations.
Ainsi, il a tenu a préciser que si, les listes électorales sortent, on ne peut plus changer les adresses électorales.
Par ailleurs, M. Ndiaye a également reproché à l'opposition de ne pas répondre au dialogue. "Le premier à déposer sa liste est validée on donne la possibilité à l’autre d’avoir d’autres parrainages. Il fallait venir aux concertations. On ne peut pas demander aux gens de venir dialoguer, ils disent non et viennent ici pour nous parler de manque de consensus", a-t-il dit.
"On ne va pas rendre public les listes de parrainages à moins que le Conseil Constitutionnel ne le décide. Cela n’existe pas dans la loi. Par contre, on va publier les listes des candidats. Parrainer quelqu’un ne veut pas dire voter pour lui. On doit communiquer avant de parler de sanctions", a-t-il laissé entendre.
Toutefois, il a tenu à préciser que pour le moment aucun chiffre avancé n’est correct parce qu’on n’a pas encore commencé les concertations.
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