Le Bureau Politique du MOCAD, s’est réuni ce Samedi 17 Septembre 2016 sous la direction de son Coordonnateur Général à l’ordre du jour: «l’assemblée des paresseux les mieux payés»
Djibril Ndiaye et Cie rejettent la proposition du président du groupe Benno Bokk Yakaar (BBY), trois jours fériés après la fête de la Tabaski.
«Le peuple attend des députés, des propositions fortes allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des sénégalais et non des propositions médiocres, inutiles, insensées inopportunes allant dans le sens du ralentissement de l’économie pour un pays pauvre très endetté membre des PMA ( pays moins avancés) », égratigne le MOCAD.
Et de préciser : «En vertu de la loi n°74-52 du 4 novembre 1974 modifiée par la loi n°89-41 du 26 décembre 1989 détermine la liste des jours qui ont le caractère de jours fériés et on note 15 jours. A l’exception du dimanche qui n’est pas un jour ouvrable on en a 48 sachant que le samedi n’est pas travaillé on est globalement à 96 jours par an on y ajoute des journées dédiées aux guides religieux disparus (paix à leurs âmes) exclusion faite aussi aux permissions exceptionnelles accordées aux travailleurs en écartant l’amplitude des heures jamais atteinte au Sénégal».
Le MOCAD note «en somme pour un pays qui veut être émergent 111 jours non travaillés sur 365 c'est-à-dire au Sénégal, on travail approximativement 254 jours».
Pis, «si un député, président d’un groupe parlementaire et membre de la majorité présidentielle agite de telle déclaration cela veut dire que nous avons un régime fêtard qui a tourné le dos aux préoccupations majeures de la population alors qu’il suffisait de poser le débat : le président n’avait-il pas dit qu’il allait gouverner avec 25 ministres ? Quels sont les impacts des institutions pour consolider les acquis comme le conseil économique social et environnemental, le haut conseil des collectivités territoriales, le haut conseil du dialogue social ? Quelle politique d’assainissement pour soulager durablement la population face aux inondations ? Et les autorités qui refusent de déclarer leurs patrimoines conformément à la loi n° 2014-17 du 02 avril 2014 », rage le coordonnateur général.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, le MOCAD parle «des institutions budgétivores et pire l’accaparement des biens communs pour enrichir une partie membre de la majorité et l’assemblée nationale qui peine à s’arrimer faute d’avoir su se débarrasser des mauvaises habitudes et des députés inconscients des rôles qui sont les siens». Le bureau politique interpelle «la population, un peuple n’a que les dirigeants qu’il mérite. On est tous libre de faire un choix mais nous sommes liés par nos choix».
Djibril Ndiaye et Cie rejettent la proposition du président du groupe Benno Bokk Yakaar (BBY), trois jours fériés après la fête de la Tabaski.
«Le peuple attend des députés, des propositions fortes allant dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des sénégalais et non des propositions médiocres, inutiles, insensées inopportunes allant dans le sens du ralentissement de l’économie pour un pays pauvre très endetté membre des PMA ( pays moins avancés) », égratigne le MOCAD.
Et de préciser : «En vertu de la loi n°74-52 du 4 novembre 1974 modifiée par la loi n°89-41 du 26 décembre 1989 détermine la liste des jours qui ont le caractère de jours fériés et on note 15 jours. A l’exception du dimanche qui n’est pas un jour ouvrable on en a 48 sachant que le samedi n’est pas travaillé on est globalement à 96 jours par an on y ajoute des journées dédiées aux guides religieux disparus (paix à leurs âmes) exclusion faite aussi aux permissions exceptionnelles accordées aux travailleurs en écartant l’amplitude des heures jamais atteinte au Sénégal».
Le MOCAD note «en somme pour un pays qui veut être émergent 111 jours non travaillés sur 365 c'est-à-dire au Sénégal, on travail approximativement 254 jours».
Pis, «si un député, président d’un groupe parlementaire et membre de la majorité présidentielle agite de telle déclaration cela veut dire que nous avons un régime fêtard qui a tourné le dos aux préoccupations majeures de la population alors qu’il suffisait de poser le débat : le président n’avait-il pas dit qu’il allait gouverner avec 25 ministres ? Quels sont les impacts des institutions pour consolider les acquis comme le conseil économique social et environnemental, le haut conseil des collectivités territoriales, le haut conseil du dialogue social ? Quelle politique d’assainissement pour soulager durablement la population face aux inondations ? Et les autorités qui refusent de déclarer leurs patrimoines conformément à la loi n° 2014-17 du 02 avril 2014 », rage le coordonnateur général.
Dans un communiqué parvenu à Pressafrik.com, le MOCAD parle «des institutions budgétivores et pire l’accaparement des biens communs pour enrichir une partie membre de la majorité et l’assemblée nationale qui peine à s’arrimer faute d’avoir su se débarrasser des mauvaises habitudes et des députés inconscients des rôles qui sont les siens». Le bureau politique interpelle «la population, un peuple n’a que les dirigeants qu’il mérite. On est tous libre de faire un choix mais nous sommes liés par nos choix».
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