C’était à l’occasion d’une réunion de préparation de l’élection législative du 01er juillet prochain.
‘’Le président de la République n’a pas le choix. Auditons les douze années de règne de maitre Abdoulaye Wade pour savoir qui a fait quoi, à quelles circonstances et dans quel secteur’’, a-t-il notamment dit.
Après cela ‘’chacun va répondre de sa part dans cette gestion et la loi devra être appliquée dans toute sa rigueur sans discrimination aucune’’, a souligné Djibo Kâ.
Au cours de la même réunion, Djibo Kâ s’est montré intransigeant sur le phénomène de transhumance politique qui « n’honore pas la démocratie sénégalaise », selon lui. « Ces pratiques n’honorent pas notre démocratie. Je suis foncièrement contre la transhumance qui est une tare pour la démocratie. C’est un manque de citoyenneté. Ce qui s’est passé de 2000 a nos jours est honteux et condamnable », a-t-il estimé.
Djibo Kâ part jusqu’à préconiser une « loi organique pour arrêter ce phénomène ». « La Constitution du Sénégal prévoit qu’un député qui quitte son parti politique perd son mandat à l’Assemblée nationale. Mais j’avoue que cela ne suffit pas. Je préconise une loi organique pour arrêter ce phénomène ».
‘’Le président de la République n’a pas le choix. Auditons les douze années de règne de maitre Abdoulaye Wade pour savoir qui a fait quoi, à quelles circonstances et dans quel secteur’’, a-t-il notamment dit.
Après cela ‘’chacun va répondre de sa part dans cette gestion et la loi devra être appliquée dans toute sa rigueur sans discrimination aucune’’, a souligné Djibo Kâ.
Au cours de la même réunion, Djibo Kâ s’est montré intransigeant sur le phénomène de transhumance politique qui « n’honore pas la démocratie sénégalaise », selon lui. « Ces pratiques n’honorent pas notre démocratie. Je suis foncièrement contre la transhumance qui est une tare pour la démocratie. C’est un manque de citoyenneté. Ce qui s’est passé de 2000 a nos jours est honteux et condamnable », a-t-il estimé.
Djibo Kâ part jusqu’à préconiser une « loi organique pour arrêter ce phénomène ». « La Constitution du Sénégal prévoit qu’un député qui quitte son parti politique perd son mandat à l’Assemblée nationale. Mais j’avoue que cela ne suffit pas. Je préconise une loi organique pour arrêter ce phénomène ».
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