Après plusieurs jours de négociations difficiles, le nouveau Premier ministre malien engrange incontestablement son premier succès. Boubou Cissé a signé avec la majorité présidentielle et une partie de l’opposition, en présence des mouvements signataires de l’accord de paix d’Alger, un accord politique qui porte notamment sur un dialogue inclusif pour sortir de la crise, et l’apaisement du climat social.
« Opportunité unique »
Le Premier ministre malien, après la signature du document, se veut optimiste : « Nous avons là une opportunité. Une opportunité unique de bâtir un Mali nouveau, un Mali fort, un Mali plus démocratique, un Mali véritablement uni où l’on ne parlerait plus ni du Nord ni du Centre ni du Sud, simplement nos frères et sœurs de nos villes, de nos campagnes où chacun se sentirait chez lui. »
« Un grand jour »
Satisfaction également dans les rangs d’une frange de l’opposition malienne après la signature de l’accord. Pour Oumar Dicko, président du Parti de la solidarité et du progrès (PSP), « nous vivons aujourd'hui un grand jour, un grand moment tout court pour le Mali. Nous avons saisi une opportunité historique qui était la main tendue. Nous avons posé des conditions. On n’est pas totalement satisfaits, mais on a l’essentiel. On a le cœur du débat. »
L’accord ouvre en principe les portes du nouveau gouvernement attendu à une partie de l’opposition malienne, ainsi qu’aux ex-rebelles.
« Opportunité unique »
Le Premier ministre malien, après la signature du document, se veut optimiste : « Nous avons là une opportunité. Une opportunité unique de bâtir un Mali nouveau, un Mali fort, un Mali plus démocratique, un Mali véritablement uni où l’on ne parlerait plus ni du Nord ni du Centre ni du Sud, simplement nos frères et sœurs de nos villes, de nos campagnes où chacun se sentirait chez lui. »
« Un grand jour »
Satisfaction également dans les rangs d’une frange de l’opposition malienne après la signature de l’accord. Pour Oumar Dicko, président du Parti de la solidarité et du progrès (PSP), « nous vivons aujourd'hui un grand jour, un grand moment tout court pour le Mali. Nous avons saisi une opportunité historique qui était la main tendue. Nous avons posé des conditions. On n’est pas totalement satisfaits, mais on a l’essentiel. On a le cœur du débat. »
L’accord ouvre en principe les portes du nouveau gouvernement attendu à une partie de l’opposition malienne, ainsi qu’aux ex-rebelles.
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