Le député-maire de Bambey par ailleurs présidente du groupe parlementaire du PDS, Aïda Mbodj apporte toute sa solidarité au maire de Dakar, Khalifa Sall placé depuis ce mardi sous mandat de dépôt suite à l'affaire de la gestion de la caisse d'avance.
«Nous marquons notre solidarité à Khalifa Sall. Mais, nous n’avons aucun moyen. La justice est gérée par le pouvoir, nous n’allons pas promettre à Khalifa d’entré avec lui en prison avec lui ou d’être menacé comme lui. Parce que j’ai été la première victime. Les gens non puis rien faire. Jusque là, l’affaire est pendante au niveau de la Cour suprême. J’ai été arbitrairement destitué de la tête du conseil départemental de Bambey. Et j’ai gagné fièrement, haut la main devant deux ministre en fonction ».
Aïda Mbodj en tournée dans le sud du pays, en profite pour élargir les bases au sein de son mouvement, Alliance national pour la démocratie, rapporte Zik Fm.
Elle en a profité pour exiger encore plus de démocratie dans le parti démocratique Sénégalais. «L’exigence c’est quoi, ce que nous sommes tous méritant. Mais parmi les méritants, il y a les plus méritants. Et on voudrait qu’on organise la dévolution démocratique du pouvoir à l’intérieur du parti démocratique Sénégalais (PDS). Que le PDS soit plus démocrate. Parce que le président Wade est parti, il nous a laissé avec un groupe. Et si ce groupe gère le parti en isolant certains responsable comme Aïda Mbodj, je pense que y en a qui n’accepterons pas surtout quand on s’appelle Aïda Mbodj», assène la député libérale.
«Nous marquons notre solidarité à Khalifa Sall. Mais, nous n’avons aucun moyen. La justice est gérée par le pouvoir, nous n’allons pas promettre à Khalifa d’entré avec lui en prison avec lui ou d’être menacé comme lui. Parce que j’ai été la première victime. Les gens non puis rien faire. Jusque là, l’affaire est pendante au niveau de la Cour suprême. J’ai été arbitrairement destitué de la tête du conseil départemental de Bambey. Et j’ai gagné fièrement, haut la main devant deux ministre en fonction ».
Aïda Mbodj en tournée dans le sud du pays, en profite pour élargir les bases au sein de son mouvement, Alliance national pour la démocratie, rapporte Zik Fm.
Elle en a profité pour exiger encore plus de démocratie dans le parti démocratique Sénégalais. «L’exigence c’est quoi, ce que nous sommes tous méritant. Mais parmi les méritants, il y a les plus méritants. Et on voudrait qu’on organise la dévolution démocratique du pouvoir à l’intérieur du parti démocratique Sénégalais (PDS). Que le PDS soit plus démocrate. Parce que le président Wade est parti, il nous a laissé avec un groupe. Et si ce groupe gère le parti en isolant certains responsable comme Aïda Mbodj, je pense que y en a qui n’accepterons pas surtout quand on s’appelle Aïda Mbodj», assène la député libérale.
Autres articles
-
Quand Ousmane Sonko prend la défense de "ses frères" des Etats du Sahel
-
Homosexualité : « chaque pays doit se donner les moyens de respecter les autres pays dans leurs croyances...» (Ousmane Sonko)
-
Francs CFA : « Nous optons sans équivoque pour une sortie prudente » (Ousmane Sonko)
-
UCAD II : Sonko accueilli en star
-
Conférence conjointe avec Mélenchon : Sonko « redéfinit » les relations avec l’Europe