Saer Tambédou, membre du Comité de Pilotage du Dialogue national, par ailleurs représentant des marchants ambulants demande à ce que la question des perdiems et du remboursement des transports soient réglés avant que le syndrome du dialogue politique ne vienne engager le comité de pilotage. Car dit-il, tous les membres n’ont pas les moyens.
« Nous l’avons annoncé dans une des éditions de la semaine passée, la question des perdiems et du déjeuner est régulièrement évoquée dans les couloirs par les membres du comité de pilotage du dialogue national. Parce que si certains membres dudit comité ont les moyens d’aller à toutes les réunions sans que leurs finances personnelles n’en souffrent, d’autre par contre, cherchent le diable pour lui tirer la queue », souligne Saer Tambédou.
Poursuivant ses propos, il précise, « on a déjà vu ce qui s’est passé avec le dialogue politique. Avec 20 membres au départ, on se retrouve des fois avec une dizaine. Parce que certains n’arrive plus à gérer leur transport ».
Évoquant la question du financement du dialogue qui coûterait 10 millions par jour, ce jeune ambulant compté dans le Comité de pilotage du dialogue national, croit que ce qui avance ces chiffres se moquent de l’intelligence des Sénégalais. Selon lui, tous ceux qui dénoncent le dialogue national ont des représentants au dialogue politique.
« Nous l’avons annoncé dans une des éditions de la semaine passée, la question des perdiems et du déjeuner est régulièrement évoquée dans les couloirs par les membres du comité de pilotage du dialogue national. Parce que si certains membres dudit comité ont les moyens d’aller à toutes les réunions sans que leurs finances personnelles n’en souffrent, d’autre par contre, cherchent le diable pour lui tirer la queue », souligne Saer Tambédou.
Poursuivant ses propos, il précise, « on a déjà vu ce qui s’est passé avec le dialogue politique. Avec 20 membres au départ, on se retrouve des fois avec une dizaine. Parce que certains n’arrive plus à gérer leur transport ».
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