
Le porte-parole des trois syndicats se démarque de la grève de 48 heures de l’intersyndicale de la Sen’eau, Sates et Utis, prévue lundi et mardi. Pour Momar Sy, la question évoquée dont l’augmentation des 40 % demandée par les deux syndicats n’est pas fondée.
« Il y a cinq syndicats dans Sen’eau, les deux veulent partir en grève. Les trois majoritaires se démarquent de la grève parce que la question évoquée sur les 40 % aujourd’hui demandés à Sen’Eau, on ne leur a donné que l’historique de ces 40 %, c’était dans un mémorandum de 2017, d’où on avait posé beaucoup de points au niveau du ministère de l’Eau, à l’occurrence les actions que nous demandions à l’époque les 15 % », a souligné l’agent administratif de la Sen’eau.
« On avait dit aussi à l’époque qu’on devait avoir aussi un contrat de 15 ans plus d’autres points qui étaient dans le mémorandum, notamment la question des 40 % dès la prise du nouveau fermier pour une augmentation de 40 % sur nos salaires », a-t-il ajouté.
Toutefois, Momar Sy reconnait qu’il n’y a pas eu d’efforts suffisants au niveau du ministère pour que ces questions soient vidées. « Le ministère avait créé un comité ad hoc qui devait régler ces questions en 2018 - 2019, malheureusement nous n’avons pas finalisé tous les points. Les points d’accord comme les 15 ans de l’entreprise qui devrait régler le pourcentage du capital qu’on avait demandé ont été réglés ».
Maintenant, a-t-il poursuivi, « il restait certains points comme les 40 %, les autres points du mémorandum à savoir utiliser l’expertise locale à la place de l’expertise internationale, les départs à la retraite. On avait tout mis dans un mémorandum. Donc on a jugé que ces points-là devaient continuer à être discutés au niveau du comité ad hoc créé par le ministre de l’Eau ».
Augmentation de 40 %, le fond du problème
Les trois syndicats indiquent qu’un mouvement d’humeur doit découler d’un problème de droit, mais pas d’une revendication ancienne.
« Dans cette négociation, il y avait deux syndicats qui sont levés pour dire qu’ils ne vont plus discuter de la plateforme, mais veulent demander automatiquement 40 % à la Sen’eau. On leur a dit la question des 40 %, ce n’est pas la Sen’eau qui doit donner une réponse, mais plutôt le ministère », a dit le porte-parole du Sutes, Sntec et Sdte.
A en croire Momar Sy, c’est à la tutelle de convoquer « une réunion tripartite entre les syndicats, la Sen’eau et le comité ad hoc pour tirer au clair toutes ces questions en suspens sur le mémorandum, notamment la question des 40%, les départs volontaires… ».
Momar Sy et Cie assurent qu’il n’y aura pas de problème d’eau dans les zones et que la continuité du service sera assurée.
« Il y a cinq syndicats dans Sen’eau, les deux veulent partir en grève. Les trois majoritaires se démarquent de la grève parce que la question évoquée sur les 40 % aujourd’hui demandés à Sen’Eau, on ne leur a donné que l’historique de ces 40 %, c’était dans un mémorandum de 2017, d’où on avait posé beaucoup de points au niveau du ministère de l’Eau, à l’occurrence les actions que nous demandions à l’époque les 15 % », a souligné l’agent administratif de la Sen’eau.
« On avait dit aussi à l’époque qu’on devait avoir aussi un contrat de 15 ans plus d’autres points qui étaient dans le mémorandum, notamment la question des 40 % dès la prise du nouveau fermier pour une augmentation de 40 % sur nos salaires », a-t-il ajouté.
Toutefois, Momar Sy reconnait qu’il n’y a pas eu d’efforts suffisants au niveau du ministère pour que ces questions soient vidées. « Le ministère avait créé un comité ad hoc qui devait régler ces questions en 2018 - 2019, malheureusement nous n’avons pas finalisé tous les points. Les points d’accord comme les 15 ans de l’entreprise qui devrait régler le pourcentage du capital qu’on avait demandé ont été réglés ».
Maintenant, a-t-il poursuivi, « il restait certains points comme les 40 %, les autres points du mémorandum à savoir utiliser l’expertise locale à la place de l’expertise internationale, les départs à la retraite. On avait tout mis dans un mémorandum. Donc on a jugé que ces points-là devaient continuer à être discutés au niveau du comité ad hoc créé par le ministre de l’Eau ».
Augmentation de 40 %, le fond du problème
Les trois syndicats indiquent qu’un mouvement d’humeur doit découler d’un problème de droit, mais pas d’une revendication ancienne.
« Dans cette négociation, il y avait deux syndicats qui sont levés pour dire qu’ils ne vont plus discuter de la plateforme, mais veulent demander automatiquement 40 % à la Sen’eau. On leur a dit la question des 40 %, ce n’est pas la Sen’eau qui doit donner une réponse, mais plutôt le ministère », a dit le porte-parole du Sutes, Sntec et Sdte.
A en croire Momar Sy, c’est à la tutelle de convoquer « une réunion tripartite entre les syndicats, la Sen’eau et le comité ad hoc pour tirer au clair toutes ces questions en suspens sur le mémorandum, notamment la question des 40%, les départs volontaires… ».
Momar Sy et Cie assurent qu’il n’y aura pas de problème d’eau dans les zones et que la continuité du service sera assurée.
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