Le Collectif des Impactés de Tivaoune Peulh attire l'attention sur une situation alarmante de bradage foncier dans la cité, située dans le département de Rufisque, (30 kilomètres de Dakar). Les membres du collectif ont exprimé leur frustration face à cette situation lors d'une conférence de presse ce samedi, appelant les autorités étatiques à prendre des mesures pour y remédier.
Selon Mbaye Ba, membre du collectif, le vrai problème jamais posé, est que les enseignants insistent sur ‘’les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension’’ de Tivaoune peulh.
« En 2009, nous nous sommes regroupés en coopérative appelée la Coopérative du collectif des enseignants pour l’habitat social. Et en 2010, nous avons bénéficié de ce site devenu une cité habité et digne de son nom, parce qu'habiter à 80 %. Depuis lors, tous les attributaires de terrain, ont gardé leur délibération qu’ils possèdent en bonne et due forme signé par l’ancien Président de la délibération spéciale et le préfet de Rufisque. C’est à partir de 2020 qu’un nommé Elhadji Dia dit ''ousso'' et venu avec sa famille et une bande de nervis s’accaparer de nos parcelles sans titre ni droit », a déclaré Cheikh Ahmed Tidiane Mbow, secrétaire général du collectif des impactés de Tivaouane Peulh.
Poursuivant sa réaction, il précise : « Nous avons alerté pratiquement toutes les autorités. Nous avons écrit des lettres d’information adressée à l’ancien chef de brigade de Tivaoune peulh et de Niague pour leur faire l’économie de la situation qui prévaut ici au niveau de la cité. Malheureusement, jusqu’à présent, le problème reste entier. Ousso et ses enfants continuent leurs exactions à vendre des parcelles. Ne pouvant pas rester inactif face à cela, nous avons décidé de faire face. Maintenant, Ousso ne vient plus, c’est son fils dénommé Mame Mbaye Dia et son neveu Ndiaga Sow qui reviennent avec des clients, recensent les parcelles, y mettent des numéros et les revendre à d’autres personnes. Ce qui constitue une provocation flagrante ».
Le Collectif des Impactés de Tivaoune Peulh soutient avoir effectué des rencontres dans le passé avec l’ancien préfet M. Thiaw et le sous-préfet M. Ndaw, pour trouver des solutions rappellent que « cette rencontre avec le sous-préfet avait regroupé le cadastre, les impôts et domaines, le commandant de la DSCOS (Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol) de Rufisque M. Sarr, l’ancien commandant de la Brigade de Tivaouane Peulh M. Ba. Et à l’issue de cette rencontre, le maire Papis Diop avait donné un engagement ferme à résoudre le problème en une semaine. Mais depuis qu’il a fait l’état des lieux, délimiter le site, malheureusement les résultats n’ont pas été publiés ».
« Face à cette situation, nous alertons les autorités à se rendre sur le site pour délimiter les 15 ha d’Ousso pour régler ce problème. Ce sont des collègues qui ont contracté des prêts bancaires, et également de braves femmes qui ont perdu leur époux et qui sont dans leur droit, voir une cité habitée par 1200 enseignants, une seule personne ne peut pas venir s’accaparer de leurs parcelles. Au moment où je vous parle, il y a plus de 80 plaintes déposées à la DSCOS et aucune de ces plaintes n’a atterries au tribunal. Tout ce que nous voulons que justice soit faite », a dénoncé Mbow.
Selon Mbaye Ba, membre du collectif, le vrai problème jamais posé est de trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune peulh. « Le conflit foncier entre le promoteur Elhadji Dia et la coopérative d'habitation des enseignants, le vrai problème jamais posé est que les enseignants insistent sur les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune peulh », a martelé M. Ba.
Selon Mbaye Ba, membre du collectif, le vrai problème jamais posé, est que les enseignants insistent sur ‘’les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension’’ de Tivaoune peulh.
« En 2009, nous nous sommes regroupés en coopérative appelée la Coopérative du collectif des enseignants pour l’habitat social. Et en 2010, nous avons bénéficié de ce site devenu une cité habité et digne de son nom, parce qu'habiter à 80 %. Depuis lors, tous les attributaires de terrain, ont gardé leur délibération qu’ils possèdent en bonne et due forme signé par l’ancien Président de la délibération spéciale et le préfet de Rufisque. C’est à partir de 2020 qu’un nommé Elhadji Dia dit ''ousso'' et venu avec sa famille et une bande de nervis s’accaparer de nos parcelles sans titre ni droit », a déclaré Cheikh Ahmed Tidiane Mbow, secrétaire général du collectif des impactés de Tivaouane Peulh.
Poursuivant sa réaction, il précise : « Nous avons alerté pratiquement toutes les autorités. Nous avons écrit des lettres d’information adressée à l’ancien chef de brigade de Tivaoune peulh et de Niague pour leur faire l’économie de la situation qui prévaut ici au niveau de la cité. Malheureusement, jusqu’à présent, le problème reste entier. Ousso et ses enfants continuent leurs exactions à vendre des parcelles. Ne pouvant pas rester inactif face à cela, nous avons décidé de faire face. Maintenant, Ousso ne vient plus, c’est son fils dénommé Mame Mbaye Dia et son neveu Ndiaga Sow qui reviennent avec des clients, recensent les parcelles, y mettent des numéros et les revendre à d’autres personnes. Ce qui constitue une provocation flagrante ».
Le Collectif des Impactés de Tivaoune Peulh soutient avoir effectué des rencontres dans le passé avec l’ancien préfet M. Thiaw et le sous-préfet M. Ndaw, pour trouver des solutions rappellent que « cette rencontre avec le sous-préfet avait regroupé le cadastre, les impôts et domaines, le commandant de la DSCOS (Direction de la Surveillance et du Contrôle de l'Occupation du Sol) de Rufisque M. Sarr, l’ancien commandant de la Brigade de Tivaouane Peulh M. Ba. Et à l’issue de cette rencontre, le maire Papis Diop avait donné un engagement ferme à résoudre le problème en une semaine. Mais depuis qu’il a fait l’état des lieux, délimiter le site, malheureusement les résultats n’ont pas été publiés ».
« Face à cette situation, nous alertons les autorités à se rendre sur le site pour délimiter les 15 ha d’Ousso pour régler ce problème. Ce sont des collègues qui ont contracté des prêts bancaires, et également de braves femmes qui ont perdu leur époux et qui sont dans leur droit, voir une cité habitée par 1200 enseignants, une seule personne ne peut pas venir s’accaparer de leurs parcelles. Au moment où je vous parle, il y a plus de 80 plaintes déposées à la DSCOS et aucune de ces plaintes n’a atterries au tribunal. Tout ce que nous voulons que justice soit faite », a dénoncé Mbow.
Selon Mbaye Ba, membre du collectif, le vrai problème jamais posé est de trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune peulh. « Le conflit foncier entre le promoteur Elhadji Dia et la coopérative d'habitation des enseignants, le vrai problème jamais posé est que les enseignants insistent sur les surfaces déjà occupées par chaque partie et trouvent la solution sur un audit des 28 ha de l'extension de Tivaoune peulh », a martelé M. Ba.
Autres articles
-
Santé : Asas /And Geusseum compte enclencher son premier plan d’action dès ce vendredi
-
Meurtre à Yeumbeul : un commerçant tué sous les yeux de sa famille
-
Falsifiant des données techniques : la TFG au cœur d’un scandale menaçant la sécurité des chantiers du pays
-
Kolda : Fabouly Gaye rompt le silence sur le litige foncier à l'origine de son arrestation
-
Le pèlerinage de Popenguine est ”un creuset du dialogue interreligieux”, selon Jean-Baptiste Tine