«En Afrique subsaharienne, il y aurait 88 millions de jeunes non scolarisés et déscolarisés. Plus de la moitié des jeunes de 12 à 14 ans ne fréquentent pas l’école, et la plupart n’y ont jamais mis les pieds. Dix-huit millions ont abandonné avant le secondaire. Le problème est généralisé dans les pays francophones qui sont souvent des pays à faible revenu et dans des Etats fragiles ou touchés par un conflit», peut-on lire dans le document sur les jeunes non scolarisés.
Mais la situation des filles mariées est encore pire si l’on en croit le document qui informe que : «Celles qui sont mariées ont cinq fois moins de chance d’achever le cycle primaire et sont moins susceptibles d’être inscrites au secondaire que les garçons du même âge. La situation des filles empire par rapport à celle des garçons, à mesure que l’on avance, en âge».
Et c’est justement pour inverser cette tendance que le gouvernement du Sénégal a décidé d’initier une nouvelle politique, fait savoir Serigne Mbaye Thiam, le ministre de l’Education nationale qui donne quelques une de ces orientations : «C’est cette politique que le gouvernement du Sénégal est en train d’élaborer, en essayant d’assurer un accès équitable à l’éducation à tous les enfants du Sénégal, notamment dans les régions qui sont les moins scolarisées. Ensuite il faut essayer de donner aux enfants une éducation de qualité. Nous voulons, dans le même sillage, prendre en charge les enfants qui ont des besoins éducatifs et qui sont dans les daaras».
Mais la situation des filles mariées est encore pire si l’on en croit le document qui informe que : «Celles qui sont mariées ont cinq fois moins de chance d’achever le cycle primaire et sont moins susceptibles d’être inscrites au secondaire que les garçons du même âge. La situation des filles empire par rapport à celle des garçons, à mesure que l’on avance, en âge».
Et c’est justement pour inverser cette tendance que le gouvernement du Sénégal a décidé d’initier une nouvelle politique, fait savoir Serigne Mbaye Thiam, le ministre de l’Education nationale qui donne quelques une de ces orientations : «C’est cette politique que le gouvernement du Sénégal est en train d’élaborer, en essayant d’assurer un accès équitable à l’éducation à tous les enfants du Sénégal, notamment dans les régions qui sont les moins scolarisées. Ensuite il faut essayer de donner aux enfants une éducation de qualité. Nous voulons, dans le même sillage, prendre en charge les enfants qui ont des besoins éducatifs et qui sont dans les daaras».
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