
L'ancien ministre sous MacKy Sall Dr Yoro Dia, invité de l'émission Jano Bi de ce dimanche 29 décembre à la radio Sud FM, est d'avis que l'AES utilise un « vernis idéologique » en se réclamant du panafricanisme pour cacher des actions qu'il juge contraires à la démocratie et à l'ordre républicain. Il a en particulier critiqué la position d'Ousmane Sonko vis-à-vis des putschistes et des régimes militaires qui ont pris le pouvoir dans des pays voisins, notamment au Mali, au Burkina Faso et en Guinée.
A Sonko et Diomaye, il leur reproche de nourrir un complexe par rapport aux militaires qui ont renversé les gouvernements démocratiquement élus dans la région, et de vouloir "rabaisser" le Sénégal au niveau de ces régimes instables. "Notre chance, c’est d’avoir des hommes d’État", a-t-il insisté, soulignant que l’histoire du Sénégal est marquée par une stabilité constitutionnelle rare en Afrique de l’Ouest, un fait qu’il considère comme un modèle pour la région.
Il a également souligné que le rôle de Diomaye, dans ce contexte, devrait être de lutter contre l’influence de ces régimes militaires et de "retirer le virus du coup d’État" pour permettre à l’Afrique de l’Ouest de s’orienter vers la démocratie. En ce sens, il appelle à une vigilance accrue de la part des dirigeants sénégalais pour éviter toute dérive autoritaire et préserver l'intégrité de la République.
L'Afrique de l'Ouest, selon lui, demeure l'une des régions les plus instables au monde, ce qui rend d’autant plus vital le rôle des démocraties établies, comme celle du Sénégal, dans la préservation de la stabilité et de la paix. Il a insisté sur le fait que les Sénégalais doivent rester vigilants face aux menaces qui pèsent sur la démocratie et ne pas se laisser emporter par des discours populistes ou des idéologies qui prônent la rupture avec les valeurs républicaines.
Ainsi, cette position témoigne de la volonté de protéger les acquis démocratiques du Sénégal, mais aussi de critiquer fermement ceux qui, selon l'ancien ministre, risquent de compromettre cette stabilité en s’alliant ou en minimisant la gravité des coups d’État militaires dans la région.
A Sonko et Diomaye, il leur reproche de nourrir un complexe par rapport aux militaires qui ont renversé les gouvernements démocratiquement élus dans la région, et de vouloir "rabaisser" le Sénégal au niveau de ces régimes instables. "Notre chance, c’est d’avoir des hommes d’État", a-t-il insisté, soulignant que l’histoire du Sénégal est marquée par une stabilité constitutionnelle rare en Afrique de l’Ouest, un fait qu’il considère comme un modèle pour la région.
Il a également souligné que le rôle de Diomaye, dans ce contexte, devrait être de lutter contre l’influence de ces régimes militaires et de "retirer le virus du coup d’État" pour permettre à l’Afrique de l’Ouest de s’orienter vers la démocratie. En ce sens, il appelle à une vigilance accrue de la part des dirigeants sénégalais pour éviter toute dérive autoritaire et préserver l'intégrité de la République.
L'Afrique de l'Ouest, selon lui, demeure l'une des régions les plus instables au monde, ce qui rend d’autant plus vital le rôle des démocraties établies, comme celle du Sénégal, dans la préservation de la stabilité et de la paix. Il a insisté sur le fait que les Sénégalais doivent rester vigilants face aux menaces qui pèsent sur la démocratie et ne pas se laisser emporter par des discours populistes ou des idéologies qui prônent la rupture avec les valeurs républicaines.
Ainsi, cette position témoigne de la volonté de protéger les acquis démocratiques du Sénégal, mais aussi de critiquer fermement ceux qui, selon l'ancien ministre, risquent de compromettre cette stabilité en s’alliant ou en minimisant la gravité des coups d’État militaires dans la région.
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