Le ministre tchadien de la justice, Jean Bernard Padaré, a exigé des banques sénégalaises qui ont accueilli les deniers de l’ex-Président Habré, de rendre des comptes. Il estime lesdits avoirs à environ 10 milliards de FCFA dont trois milliards de francs Cfa de Fonds politiques, na pas hésité à qualifier de blanchiment l’opération de placement à laquelle l’ancien Chef de l’état tchadien s’est livré au lendemain de sa chute en décembre 1990.
"la récupération des montants incriminés doivent surtout permettre de dédommager les victimes de l’ancien Président lesquelles selon le gouvernement de Ndjamena sont de l’ordre de quarante mille (40 000)", précise-t-il.
Une démarche que l’un des avocats de Hissène Habré, Me El Hadj Diouf, juge ridicule puisque "les faits soulevés tout comme ceux ayant trait aux délits de recel ou d’abus de confiance ont été frappés de prescription depuis belle lurette et n’entrent pas ainsi dans le registre des charges retenues contre son client", sur les colonnes du journal "Libération".
"la récupération des montants incriminés doivent surtout permettre de dédommager les victimes de l’ancien Président lesquelles selon le gouvernement de Ndjamena sont de l’ordre de quarante mille (40 000)", précise-t-il.
Une démarche que l’un des avocats de Hissène Habré, Me El Hadj Diouf, juge ridicule puisque "les faits soulevés tout comme ceux ayant trait aux délits de recel ou d’abus de confiance ont été frappés de prescription depuis belle lurette et n’entrent pas ainsi dans le registre des charges retenues contre son client", sur les colonnes du journal "Libération".
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