Me Aboubacry Barro est sorti de sa réserve après la plainte déposée par sa cliente Ndella Madior Diouf auprès du Barreau du Sénégal. Cette dernière l’accuse de manquements dans la conduite de sa défense dans le dossier de la pouponnière « Kër Yërmandé », affaire pour laquelle elle est en détention depuis décembre 2023.
Joint par la RFM, l’avocat a rejeté ces accusations, estimant que sa cliente aurait agi sous le coup d’un profond malaise psychologique lié à la longueur de sa détention préventive. « Ce sont des histoires. Moi, je la comprends peut-être qu’elle a agi sous le coup d’une dépression à la suite d’une longue détention préventive. C’est à cause de ça qu’elle permet d’agir », a-t-il confié.
Me Barro affirme avoir pleinement assuré sa mission. « J’ai été le premier avocat à l’assister dès l’interrogatoire et devant le juge lors de l’inculpation. Après tout, je me suis rendu à la prison du Camp pénal pour lui rendre visite à quatre ou cinq reprises. Mieux encore, j’ai fait les diligences nécessaires à l’enrôlement de l’affaire. Entretemps, trois confrères sont venus se constituer », a-t-il précisé.
L’avocat estime par ailleurs que la plainte est prématurée. « Moi, j’aurai compris qu’après son jugement que je sois absent et là elle aurait parfaitement le droit de porter plainte contre un avocat qui n’a pas eu à assister son client lors de la plaidoirie ».
Concernant la restitution des trois millions de francs CFA réclamés par Ndella Madior Diouf au titre des honoraires, Me Barro balaie également l’argument. « Pour les problèmes des honoraires, je ne vais pas en parler à travers la presse. S’il est avéré qu’elle a saisi le bâtonnier, j’aurai mes moyens de défense devant le bâtonnier », a-t-il assuré.
Selon lui, la plainte ne saurait prospérer, dans la mesure où toutes les diligences requises ont été accomplies dans l’intérêt de sa cliente.
Joint par la RFM, l’avocat a rejeté ces accusations, estimant que sa cliente aurait agi sous le coup d’un profond malaise psychologique lié à la longueur de sa détention préventive. « Ce sont des histoires. Moi, je la comprends peut-être qu’elle a agi sous le coup d’une dépression à la suite d’une longue détention préventive. C’est à cause de ça qu’elle permet d’agir », a-t-il confié.
Me Barro affirme avoir pleinement assuré sa mission. « J’ai été le premier avocat à l’assister dès l’interrogatoire et devant le juge lors de l’inculpation. Après tout, je me suis rendu à la prison du Camp pénal pour lui rendre visite à quatre ou cinq reprises. Mieux encore, j’ai fait les diligences nécessaires à l’enrôlement de l’affaire. Entretemps, trois confrères sont venus se constituer », a-t-il précisé.
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