
La directrice de l’hôpital régional de Kaolack (centre), Khadidiatou Sarr Kébé, a exprimé mardi ses regrets, suite à l’affaire du bébé déclaré mort retrouvé vivant, avant d’assurer que « des efforts seront déployés pour que de pareilles situations ne se reproduisent plus ».
« Dans le cadre de la démarche qualité, des efforts seront déployés dans l’hôpital régional de Kaolack pour que de pareilles situations ne se reproduisent plus », a-t-elle déclaré la directrice de l’hôpital de Kaolack, dans des propos rapportés par l’APS.
Le corps d’un bébé déclaré mort à la pédiatrie de l’hôpital régional de Kaolack a été retrouvé vivant et mis dans un carton, quelques heures plus tard, à la morgue du même établissement de santé, avait déclaré son père, Alassane Diallo.
Une assistante infirmière avait déclaré mort le nourrisson en dressant un certificat de décès alors que ce dernier était encore en vie. L’enfant réadmis en pédiatrie est finalement décédé.
L’affaire remonte au 06 mai dernier.
Khadidiatou Sarr Kébé a ainsi regretté cette situation, qui, selon elle, est « déplorable ». Elle a précisé que le bébé n’a pas fait plus de cinq minutes à la morgue de l’hôpital.
« Dans le cadre de la démarche qualité, des efforts seront déployés dans l’hôpital régional de Kaolack pour que de pareilles situations ne se reproduisent plus », a-t-elle déclaré la directrice de l’hôpital de Kaolack, dans des propos rapportés par l’APS.
Le corps d’un bébé déclaré mort à la pédiatrie de l’hôpital régional de Kaolack a été retrouvé vivant et mis dans un carton, quelques heures plus tard, à la morgue du même établissement de santé, avait déclaré son père, Alassane Diallo.
Une assistante infirmière avait déclaré mort le nourrisson en dressant un certificat de décès alors que ce dernier était encore en vie. L’enfant réadmis en pédiatrie est finalement décédé.
L’affaire remonte au 06 mai dernier.
Khadidiatou Sarr Kébé a ainsi regretté cette situation, qui, selon elle, est « déplorable ». Elle a précisé que le bébé n’a pas fait plus de cinq minutes à la morgue de l’hôpital.
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