
Invité de l’émission En Vérité sur Radio Sénégal Internationale (RSI) ce dimanche, le député non inscrit Tafsir Thioye a réagi à l’appel au dialogue lancé par le président de la République le 4 avril dernier. Une rencontre est prévue le 28 mai pour réfléchir de manière inclusive sur le système politique sénégalais.
« C’est une démarche que j’approuve, surtout au regard des thématiques annoncées », a déclaré le parlementaire. Toutefois, il a émis une réserve sur le terme utilisé : « Le président parle de ‘système politique’, mais ce concept va bien au-delà des élections et des partis. Il inclut aussi les institutions, les syndicats, et d’autres composantes. Peut-être voulait-il parler de système partisan, ce qui serait plus juste. »
Tafsir Thioye a affirmé avoir reçu les termes de référence du dialogue, bien qu’il ne les ait pas encore analysés en profondeur. Il insiste sur la nécessité de s’accorder sur des bases solides : « Si notre système partisan fonctionnait bien, beaucoup de problèmes institutionnels seraient résolus. »
Pour lui, la discussion autour des partis politiques, des institutions et de la Constitution est essentielle : « Tous les acteurs politiques doivent répondre à l’appel du président, quelle que soit leur position. »
Il conclut avec espoir : « Si on se met d’accord sur des principes clairs, on pourra enfin parler d’économie et de développement, au lieu de se focaliser uniquement sur les élections ou les querelles partisanes. »
« C’est une démarche que j’approuve, surtout au regard des thématiques annoncées », a déclaré le parlementaire. Toutefois, il a émis une réserve sur le terme utilisé : « Le président parle de ‘système politique’, mais ce concept va bien au-delà des élections et des partis. Il inclut aussi les institutions, les syndicats, et d’autres composantes. Peut-être voulait-il parler de système partisan, ce qui serait plus juste. »
Tafsir Thioye a affirmé avoir reçu les termes de référence du dialogue, bien qu’il ne les ait pas encore analysés en profondeur. Il insiste sur la nécessité de s’accorder sur des bases solides : « Si notre système partisan fonctionnait bien, beaucoup de problèmes institutionnels seraient résolus. »
Pour lui, la discussion autour des partis politiques, des institutions et de la Constitution est essentielle : « Tous les acteurs politiques doivent répondre à l’appel du président, quelle que soit leur position. »
Il conclut avec espoir : « Si on se met d’accord sur des principes clairs, on pourra enfin parler d’économie et de développement, au lieu de se focaliser uniquement sur les élections ou les querelles partisanes. »
Autres articles
-
En images – Côte d’Ivoire : le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko reçu en audience par le Président Alassane Ouattara
-
Le nom de son parti fraîchement annoncé, Barthélémy Dias accusé de plagiat par les proches du ministre Cheikh Tidiane Dieye
-
Abidjan : Ousmane Sonko rencontre Amadou Hott après son échec à la présidence de la BAD
-
Prison de Rebeuss : Moustapha Diop incarcéré dans une cellule « VIP »
-
Abidjan : Ousmane Sonko reçoit le nouveau président de la BAD, Sidi Ould Tah