«Si on ne freine pas Aïda Mbodji, beaucoup d’autres responsables du parti vont faire comme elle. Plus on avance vers les élections législatives, plus les prétentions dans le parti vont augmenter», a déclaré Farba Senghor.
Pour le chargé de la propagande au sein de la formation libérale, la situation qui prévaut au sein de son parti ressemble fort à une cacophonie car, alors que le Pds a investi Karim Wade comme chef de file pour les prochaines joutes électorales, la section de Rufisque de l’Alliance nationale pour la démocratie (And) a désigné la «lionne du Baol», comme candidate.
Et Farba Senghor est conforté dans sa position par le message de la présidente du groupe parlementaire des Libéraux et des Démocrates qui avait lancé lors de cette investiture : «Vous venez de m’exprimer la confiance de Rufisque. Vous venez de lancer un appel historique. Vous venez de reconnaître mon combat. Comme tous les démocrates épris de justice, vous venez de m’investir de votre confiance. Je vais tout faire pour mériter cette confiance ».
Cette situation est, selon M. Senghor qui s’est exprimé dans les colonnes de l’Observateur, à imputer à la direction de son parti qui n’initie aucune animation pour resserrer les rangs : «L’attitude de Mme Aïda Mbodji s’est dessinée depuis que Karim Wade a été investi candidat du Pds. Maintenant le parti a laissé cette situation pourrir parce que le coordonnateur, Oumar Sarr, n’a jamais voulu affronter le problème en face».
Pour le chargé de la propagande au sein de la formation libérale, la situation qui prévaut au sein de son parti ressemble fort à une cacophonie car, alors que le Pds a investi Karim Wade comme chef de file pour les prochaines joutes électorales, la section de Rufisque de l’Alliance nationale pour la démocratie (And) a désigné la «lionne du Baol», comme candidate.
Et Farba Senghor est conforté dans sa position par le message de la présidente du groupe parlementaire des Libéraux et des Démocrates qui avait lancé lors de cette investiture : «Vous venez de m’exprimer la confiance de Rufisque. Vous venez de lancer un appel historique. Vous venez de reconnaître mon combat. Comme tous les démocrates épris de justice, vous venez de m’investir de votre confiance. Je vais tout faire pour mériter cette confiance ».
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