D’après le rapport d’une étude de l’CRDH, avec l’appui de Guttmacher Institute, une femme sur deux rencontre des complications après avortement à risque. Ce rapport, fait en 2014 a été présenté, samedi à la presse en marge d’un atelier. À la base, le code pénal interdit l’interruption volontaire de la grossesse (IVG).
« Il est clair que certaines femmes viennent aux structures de santé avec des complications après avortement à risque. Mais la pratique est illégale et il est clair que ces femmes ne présenteraient que le sommet de l’iceberg de toutes les femmes qui ont fait des avortements », relève-t-on, lors de cette session organisée par l’Association des juristes sénégalais.
Les besoins non satisfaits de planification familiale restent élevés avec notamment un taux de prévalence contraceptive et de 23 %. Pis, 25 % des Sénégalaises mariées ont des besoins non satisfaits en matière de planification familiale : ce qui peut donner naissance à des grossesses non désirées.
Le terrain a montré que l’avortement est courant au Sénégal. Selon les estimations, 51.500 avortements ont été provoqués en 2012. Le taux de l’avortement a été estimé à 17 pour 1000 femmes âgées de 15 à 44 ans : près de 2 % des femmes ont fait un avortement.
« Il est clair que certaines femmes viennent aux structures de santé avec des complications après avortement à risque. Mais la pratique est illégale et il est clair que ces femmes ne présenteraient que le sommet de l’iceberg de toutes les femmes qui ont fait des avortements », relève-t-on, lors de cette session organisée par l’Association des juristes sénégalais.
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