Le leader de Taxawu Khalifa Ababacar Sall invité au dialogue les proches de Barthélémy Dias et militants de Sonko pour raffermir les liens entre les deux camps. Ce, après les échauffourées produites, lors du rassemblement du Front pour la défense de la démocratie. L’ancien édile de la ville de Dakar a jugé l’incident «inadmissible et inélégant».
Le patron de Taxawu Khalifa Ababacar Sall est sorti du mutisme pour dénoncer les échauffourées produites, lors du rassemblement du Front pour la défense de la démocratie le samedi dernier au terrain des Hlm Grand Yoff. Il a jugé l’incident «inadmissible et inélégant». Avant d’appeler les deux camps au dialogue.
« Comment peut-on prétendre diriger le pays en combattant dans la division ? Il faut que les uns et les autres reviennent à la raison. Car le plus important, c’est de s’unir dans l’objectif commun pour lequel on se dirige. Faire surtout en sorte que les 19 candidats retenus aillent à l’élection présidentielle le plus rapidement possible. Il reviendra ensuite à Dieu de choisir celui qu’il placera à la tête du pays. J’espère que ce sera moi », a-t-il soutenu.
Par ailleurs, l’ancien membre de YAW se dit prêt à jouer un rôle de médiateur en ce sens. « Si possible, je vais m’activer à réunir les différentes parties afin que la paix revienne parmi nous. C’est ce à quoi je me suis toujours attelé d’ailleurs. Parce que la force de l’opposition réside dans sa communion et les échanges entre ses membres », note Khalifa Sall.
Le patron de Taxawu Khalifa Ababacar Sall est sorti du mutisme pour dénoncer les échauffourées produites, lors du rassemblement du Front pour la défense de la démocratie le samedi dernier au terrain des Hlm Grand Yoff. Il a jugé l’incident «inadmissible et inélégant». Avant d’appeler les deux camps au dialogue.
« Comment peut-on prétendre diriger le pays en combattant dans la division ? Il faut que les uns et les autres reviennent à la raison. Car le plus important, c’est de s’unir dans l’objectif commun pour lequel on se dirige. Faire surtout en sorte que les 19 candidats retenus aillent à l’élection présidentielle le plus rapidement possible. Il reviendra ensuite à Dieu de choisir celui qu’il placera à la tête du pays. J’espère que ce sera moi », a-t-il soutenu.
Par ailleurs, l’ancien membre de YAW se dit prêt à jouer un rôle de médiateur en ce sens. « Si possible, je vais m’activer à réunir les différentes parties afin que la paix revienne parmi nous. C’est ce à quoi je me suis toujours attelé d’ailleurs. Parce que la force de l’opposition réside dans sa communion et les échanges entre ses membres », note Khalifa Sall.
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