264 personnes tuées, dont près de la moitié de cadavres abandonnés dans les rues, comme en 2015 au début de la crise. 573 Burundais arrêtés, 194 torturés, 34 portés disparus avec une part de plus en plus importante de femmes et d'enfants. Et ces chiffres ne sont sans doute qu'une estimation au vu de la difficulté des organisations de défense des droits de l'homme à travailler sur le terrain. Anschaire Nikoyagize, président de la Ligue Iteka («dignité» en kirundi, la langue nationale) témoigne.
"Les victimes sont surtout les membres de partis d’opposition", a noté Anschaire Nikoyagize, Ligue Iteka
"Les victimes sont surtout les membres de partis d’opposition", a noté Anschaire Nikoyagize, Ligue Iteka
Autres articles
-
En Côte d'Ivoire, Laurent Gbagbo officiellement investi à la présidentielle par son parti
-
Présidentielle en Mauritanie: l’ex-chef de l’État Ould Abdel Aziz, condamné en 2023, a déposé sa candidature
-
Madagascar: l'Église catholique dénonce la loi autorisant la castration des pédophiles
-
Mali: «l'armée ne doit pas justifier ses exactions par celles des terroristes», selon Amnesty
-
RDC: le principe de la révision de la loi de finances 2024 est acté