Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane Diouf, a réagi suite à l’exclusion des candidats du baccalauréat de leurs centres d’examen, notamment à Kaolack et à Dakar, parce qu’ils avaient par devers eux des téléphones portables. Il assure que les candidats concernés seront traduits devant la commission de discipline.
« Pour le cas des candidats exclus pour fraude, les présidents de jury ayant pris ces décisions ont appliqué la loi. Maintenant, la voie qui s'ouvre pour ces élèves et parents, c'est d'aller devant la commission de discipline pour défendre leur cas. Je pense pouvoir dire que la commission de discipline pourra se réunir dans le plus bref délai pour statuer sur tous les cas de fraude du bac », a annoncé le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, hier vendredi, en marge de l’installation de la Commission d’orientation des nouveaux bacheliers.
Il précise que cette commission est autonome. « C'est à elle d'évaluer la situation de chaque élève, pour dire si la punition sera d'une année ou si la punition peut être rapportée pour que l'élève puisse faire de la session de remplacement. Je défends l'application stricte de la loi, mais je comprends aussi la douleur humaine qu'il y a derrière l'élimination des élèves dans ces conditions », a indiqué Abdourahmane Diouf.
« Pour le cas des candidats exclus pour fraude, les présidents de jury ayant pris ces décisions ont appliqué la loi. Maintenant, la voie qui s'ouvre pour ces élèves et parents, c'est d'aller devant la commission de discipline pour défendre leur cas. Je pense pouvoir dire que la commission de discipline pourra se réunir dans le plus bref délai pour statuer sur tous les cas de fraude du bac », a annoncé le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, hier vendredi, en marge de l’installation de la Commission d’orientation des nouveaux bacheliers.
Il précise que cette commission est autonome. « C'est à elle d'évaluer la situation de chaque élève, pour dire si la punition sera d'une année ou si la punition peut être rapportée pour que l'élève puisse faire de la session de remplacement. Je défends l'application stricte de la loi, mais je comprends aussi la douleur humaine qu'il y a derrière l'élimination des élèves dans ces conditions », a indiqué Abdourahmane Diouf.
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