« Quand je saurai la décision, je pourrai donner ma réaction. Vous avez dit retraite d’office ? Mais, je serai à la retraite au début de l’année prochaine", a-t-il laissé entendre au bout du fil. Minimisant toutefois la sentence, il déclare : « ce n’est pas la mesure qui m’importe, c’est plutôt le devenir des sénégalais. Qu’est-ce que je devais faire quand un dealer m’a dit ce que faisait mon prédécesseur à l’OCRTIS : me taire, prendre 500 millions de FCFA ou informer le ministre ? J’ai fait mon travail : informer le ministre de l’Intérieur ».
Cheikh Saad Bouh Keïta estime par ailleurs que « c’est le ministre de l’Intérieur de l’époque (Ndlr Général Pathé Seck) qui a tort, lui qui a proposé Niang comme directeur général de la police alors qu’il avait des éléments en sa possession sur le trafic de drogue à la police ». Il conclut en réitérant « personne n’a le pouvoir de me sanctionner quand j’ai raison. On ne doit avoir peur que de Dieu ».
Cheikh Saad Bouh Keïta estime par ailleurs que « c’est le ministre de l’Intérieur de l’époque (Ndlr Général Pathé Seck) qui a tort, lui qui a proposé Niang comme directeur général de la police alors qu’il avait des éléments en sa possession sur le trafic de drogue à la police ». Il conclut en réitérant « personne n’a le pouvoir de me sanctionner quand j’ai raison. On ne doit avoir peur que de Dieu ».
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