Les deux parties vont mener des campagnes permanentes d’affichage ainsi que sur les médias en vue de sensibiliser les conducteurs, en ville, en campagne et sur les routes nationales, sur les dangers de l’alcool.
L’objectif, ont-elles indiqué, est « d’agir par des actions d’envergure, des actions qui auront de l’impact sur le comportement du citoyen qui est à la fois responsable et vulnérable ».
L’engagement des Brasseries du Congo est salué par Mermans Babounga, secrétaire exécutif de l’Association des consommateurs congolais.
« En tant qu’entreprise qui commercialise un produit dont l’objectif est de vendre plusieurs quantités, faire une campagne d’éducation pour limiter la consommation de son produit... Il faut féliciter cette entreprise qui est engagée dans le respect de l’empreinte citoyenne de sa marque », s’est félicité M. Babounga.
Pour Mermans Babounga, l’administration des transports doit aller au-delà d’une simple campagne de sensibilisation : « Nous demandons de procurer aussi des tests d’alcoolémie. Cela ne doit pas se limiter à faire une campagne, mais des contrôles doivent également se faire sur le terrain sur la base d’un équipement approprié. Malheureusement, jusqu’à ce jour, le pays n’en a pas. C’est regrettable », a-t-il dit.
Au Congo près de 31 000 accidents de circulation, avec dégâts corporels et matériels, ont été enregistrés entre 2014 et 2019.
L’objectif, ont-elles indiqué, est « d’agir par des actions d’envergure, des actions qui auront de l’impact sur le comportement du citoyen qui est à la fois responsable et vulnérable ».
L’engagement des Brasseries du Congo est salué par Mermans Babounga, secrétaire exécutif de l’Association des consommateurs congolais.
« En tant qu’entreprise qui commercialise un produit dont l’objectif est de vendre plusieurs quantités, faire une campagne d’éducation pour limiter la consommation de son produit... Il faut féliciter cette entreprise qui est engagée dans le respect de l’empreinte citoyenne de sa marque », s’est félicité M. Babounga.
Pour Mermans Babounga, l’administration des transports doit aller au-delà d’une simple campagne de sensibilisation : « Nous demandons de procurer aussi des tests d’alcoolémie. Cela ne doit pas se limiter à faire une campagne, mais des contrôles doivent également se faire sur le terrain sur la base d’un équipement approprié. Malheureusement, jusqu’à ce jour, le pays n’en a pas. C’est regrettable », a-t-il dit.
Au Congo près de 31 000 accidents de circulation, avec dégâts corporels et matériels, ont été enregistrés entre 2014 et 2019.
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