En Côte d’Ivoire, pays où l’agriculture représente 24% du PIB, seulement 4% des terres ont des certificats ou titres fonciers enregistrés par les autorités. Une situation à l’origine de tensions et parfois de violences. Les multiples mesures législatives n’ayant pas réussi à empêcher les conflits liés au partage de la terre, le pays engage d’autres initiatives pour apporter des réponses plus efficientes. Il s’agit par exemple de l’implication des radios de proximité pour la sensibilisation des populations ou encore de la mise en place des comités villageois pour l’attribution de titres fonciers. Reportage.
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