Oumar Waly Zoumarro n’est plus le Secrétaire général du Sels Originel. C’est ce qui découle de la réunion de la Commission administrative de ce syndicat qui s’est tenue ce dimanche à Thiès. Selon ses membres, leur désormais ex-secrétaire général est coupable de mauvaise gestion, de détournements, entre autres griefs retenus contre lui.
«Le nommé Oumar Waly Zoumarro qui officiait jusqu’à présent au titre de Secrétaire général national du Sels Originel a commis des fautes graves de gestion, lesquelles, conformément à nos textes et règlement intérieur, méritent une exclusion au pire des cas, ou une destitution à la tête du syndicat», a déclaré Amadou Bamba Ndoye, le porte-parole du jour.
A l’en croire, M. Zoumarro a fait «un carnage financier jamais vu dans l’histoire du Syndicat », notamment en faisant de fausses de déclarations sur l’état financier dudit syndicat, notamment en déclarant que les cotisations s’élevaient à 300 000 francs Cfa, alors qu’en réalité, c’était 1 million de francs Cfa ; mais aussi en s’octroyant des pouvoirs illimités qui lui permettaient de dégommer qui il veut de son poste sans explications.
Et d’ajouter en listant les tares de M. Zoumarro : «Il s’est permis de contracter un prêt de 6 000 000 de francs Cfa dans une institution financière de la place, à l’insu du syndicat. La voiture que le syndicat avait acheté a mystérieusement disparu…»
M. Ndoye, par ailleurs Secrétaire général-adjoint du Sels/O prévient que M. Zoumarro sera poursuivi en justice. Mais d’ici-là, un autre secrétaire général sera désigné la semaine prochaine «après des consultations à la base.»
«Le nommé Oumar Waly Zoumarro qui officiait jusqu’à présent au titre de Secrétaire général national du Sels Originel a commis des fautes graves de gestion, lesquelles, conformément à nos textes et règlement intérieur, méritent une exclusion au pire des cas, ou une destitution à la tête du syndicat», a déclaré Amadou Bamba Ndoye, le porte-parole du jour.
A l’en croire, M. Zoumarro a fait «un carnage financier jamais vu dans l’histoire du Syndicat », notamment en faisant de fausses de déclarations sur l’état financier dudit syndicat, notamment en déclarant que les cotisations s’élevaient à 300 000 francs Cfa, alors qu’en réalité, c’était 1 million de francs Cfa ; mais aussi en s’octroyant des pouvoirs illimités qui lui permettaient de dégommer qui il veut de son poste sans explications.
Et d’ajouter en listant les tares de M. Zoumarro : «Il s’est permis de contracter un prêt de 6 000 000 de francs Cfa dans une institution financière de la place, à l’insu du syndicat. La voiture que le syndicat avait acheté a mystérieusement disparu…»
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